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Liban - Diplomatie

Nawaf Salam élu à la Cour internationale de justice pour un mandat de 9 ans

L’ambassadeur Nawaf Salam à l’ONU. Photo Sylviane Zéhil

L'anxiété était hier à son paroxysme au Conseil de sécurité et à l'Assemblée générale de l'ONU pour le vote – en même temps mais dans des locaux séparés – pour le renouvellement de cinq des quinze juges de la Cour internationale de justice (CIT), l'organe judiciaire des Nations unies, dont le siège est à La Haye.
Après trois tours de scrutin, quatre juges ont été élus pour un mandat de neuf ans à dater du 6 février 2018 : Nawaf Salam, représentant permanent du Liban auprès des Nations unies, le juge Ronny Abraham (France), Antonio Augusto Cançado Trindade (Brésil), Abdulqawi Ahmad Yusuf (Somalie). L'Assemblée générale et le Conseil de sécurité devront se réunir lundi 13 novembre pour élire le cinquième juge.
Les nouveaux membres de la Cour entreront en fonctions le 6 février 2018, après quoi la Cour se choisira au scrutin un président et un vice-président pour les trois années suivantes.

Diplomate et juriste érudit
Nawaf Salam vient de relever un défi difficile, et sa candidature a été approuvée par l'Organisation de la coopération islamique lors de sa réunion des ministres des Affaires étrangères à Tachkent, l'année dernière. De nationalité libanaise, Nawaf Salam est né à Beyrouth le 15 décembre 1953. Il est marié à Sahar Baassiri qui vient d'être nommée ambassadrice du Liban auprès de l'Unesco. Elle devra prendre ses fonctions en janvier prochain.
Délégué permanent du Liban auprès de l'ONU depuis juillet 2007, M. Salam a représenté le Liban au Conseil de sécurité en 2010 et 2011, lorsque ce pays a été élu membre non permanent du Conseil pour un mandat de deux ans. Il a assumé la présidence du Conseil en mai 2010 et septembre 2011.
Nawaf Salam a en outre été vice-président de la 67e session de l'Assemblée générale (2012-2013) et président par intérim de l'Assemblée (juillet 2013). Il a représenté le Liban au Conseil économique et social (Ecosoc) pour un mandat qui a commencé le 1er janvier 2016.
Il est officier de l'ordre de la Légion d'honneur en France et a été décoré en octobre dernier par le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres.
Bardé de nombreux diplômes de prestigieuses universités, Nawaf Salam est détenteur d'un doctorat d'État de l'Institut d'études politiques (Sciences Po) à Paris (1992), d'un LL.M (Master of Laws) de la Harvard Law School (1991), d'une licence en droit de l'Université libanaise de Beyrouth (1984), d'un doctorat en histoire de la Sorbonne, à Paris (1979), d'un diplôme d'études approfondies de l'Institut d'études politiques (Sciences Po) de Paris (1979) et d'un diplôme de hautes études en sciences sociales, à Paris (1974).

L'anxiété était hier à son paroxysme au Conseil de sécurité et à l'Assemblée générale de l'ONU pour le vote – en même temps mais dans des locaux séparés – pour le renouvellement de cinq des quinze juges de la Cour internationale de justice (CIT), l'organe judiciaire des Nations unies, dont le siège est à La Haye.Après trois tours de scrutin, quatre juges ont été élus pour...

commentaires (2)

Bardé de nombreux diplômes de prestigieuses universités, Nawaf Salam est détenteur d'un doctorat d'État de l'Institut d'études politiques (Sciences Po) à Paris (1992), d'un LL.M (Master of Laws) de la Harvard Law School (1991), d'une licence en droit de l'Université libanaise de Beyrouth (1984), d'un doctorat en histoire de la Sorbonne, à Paris (1979), d'un diplôme d'études approfondies de l'Institut d'études politiques (Sciences Po) de Paris (1979) et d'un diplôme de hautes études en sciences sociales, à Paris (1974). EINSTEIN REPETAIT QUE LES DIPLOMES NE FONT L'HOMME MAIS ILS FONT SUREMENT DES MANDARINS AU SERVICE DE CETTE BOITE A SINECURES RONGEE PAR LA CORRUPTION ET QUI S'APPELLE ONU. L'IMPORTANT C'EST QUE CERTAINS DIPLOMEES BARDEES NE PARTENT JAMAIS A LA RETRAITE.

Henrik Yowakim

13 h 27, le 12 novembre 2017

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Commentaires (2)

  • Bardé de nombreux diplômes de prestigieuses universités, Nawaf Salam est détenteur d'un doctorat d'État de l'Institut d'études politiques (Sciences Po) à Paris (1992), d'un LL.M (Master of Laws) de la Harvard Law School (1991), d'une licence en droit de l'Université libanaise de Beyrouth (1984), d'un doctorat en histoire de la Sorbonne, à Paris (1979), d'un diplôme d'études approfondies de l'Institut d'études politiques (Sciences Po) de Paris (1979) et d'un diplôme de hautes études en sciences sociales, à Paris (1974). EINSTEIN REPETAIT QUE LES DIPLOMES NE FONT L'HOMME MAIS ILS FONT SUREMENT DES MANDARINS AU SERVICE DE CETTE BOITE A SINECURES RONGEE PAR LA CORRUPTION ET QUI S'APPELLE ONU. L'IMPORTANT C'EST QUE CERTAINS DIPLOMEES BARDEES NE PARTENT JAMAIS A LA RETRAITE.

    Henrik Yowakim

    13 h 27, le 12 novembre 2017

  • Bardé de nombreux diplômes de prestigieuses universités, Nawaf Salam est détenteur d'un doctorat d'État de l'Institut d'études politiques (Sciences Po) à Paris (1992), d'un LL.M (Master of Laws) de la Harvard Law School (1991), d'une licence en droit de l'Université libanaise de Beyrouth (1984), d'un doctorat en histoire de la Sorbonne, à Paris (1979), d'un diplôme d'études approfondies de l'Institut d'études politiques (Sciences Po) de Paris (1979) et d'un diplôme de hautes études en sciences sociales, à Paris (1974). VOUS AVEZ OUBLIEE SON BACCALAUREAT 2EME PARTIE ?????

    Henrik Yowakim

    13 h 16, le 12 novembre 2017

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