Les Nations Unies ne sont pas en mesure de vérifier si le Premier ministre libanais Saad Hariri, qui a annoncé samedi à la surprise générale sa démission depuis Riyad, est libre de ses mouvements en Arabie saoudite, a déclaré jeudi le porte-parole du secrétaire général de l'ONU, Stéphane Dujarric.
Les voix se font plus fortes et plus fermes, au sein de l'establishment politique, pour un retour du Premier ministre à Beyrouth. Ce, alors que se multiplient les interrogations concernant sa liberté de mouvement dans le royaume wahhabite.
Le mystère est en effet total depuis l'annonce choc par M. Hariri, un protégé de Riyad, de sa démission, invoquant la "mainmise" de l'Iran et de son allié au Liban, le Hezbollah, sur les affaires intérieures du pays.
Les Nations Unies ne sont pas en mesure de vérifier si le Premier ministre libanais Saad Hariri, qui a annoncé samedi à la surprise générale sa démission depuis Riyad, est libre de ses mouvements en Arabie saoudite, a déclaré jeudi le porte-parole du secrétaire général de l'ONU, Stéphane Dujarric.
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