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Culture - Trois questions à

Latifé Lakkis, présidente du Festival de Byblos

1- Quel bilan tirez-vous de l'édition de 2016 et quelles sont vos perspectives pour celle de 2017 ?
L'année 2016 n'était pas à la hauteur de nos attentes. Le festival de Byblos a accueilli 13 000 spectateurs alors que nous en attendions 20 000. Cela nous a surpris. En 2017, nous espérons, grâce à un programme varié et touchant plusieurs tranches d'âge, attirer un très grand nombre de spectateurs. La soirée en souvenir de Philémon Wehbé et Nasri Chamseddine, concoctée par les Rahbani, ne manquera pas d'attirer les amoureux de la chanson libanaise.

2- Les jeunes continuent de se plaindre de la cherté des billets. Avez-vous prévu des tarifs et modalités « spécial jeunes » ?
Même si les spectacles nous coûtent cher (les frais s'accumulent entre cachets d'artistes, éclairage, sonorisation, construction de gradins, logistique, etc.), nous faisons toujours en sorte de proposer une gamme de billets pour toutes les bourses. Des prix de groupe sont également offerts.

3- Si vous deviez diriger pour une seule année un autre festival libanais, ce serait lequel et pourquoi ?
C'est une question embarrassante. Chaque festival a son identité propre et ses particularités. Si vous insistez, je dirai le Festival international de Baalbeck. Il possède un cachet spécial et représente le visage historique et culturel du Liban.

1- Quel bilan tirez-vous de l'édition de 2016 et quelles sont vos perspectives pour celle de 2017 ?L'année 2016 n'était pas à la hauteur de nos attentes. Le festival de Byblos a accueilli 13 000 spectateurs alors que nous en attendions 20 000. Cela nous a surpris. En 2017, nous espérons, grâce à un programme varié et touchant plusieurs tranches d'âge, attirer un très grand nombre de...

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