Rechercher
Rechercher

Liban

Ils ont dit...

Gebran Bassil, ministre des Affaires étrangères et chef du Courant patriotique libre (CPL), lors de l'inauguration d'un nouveau bureau du CPL à Enfé, au Liban-Nord : « Le dialogue est important mais pas au détriment du temps. (...) Nous avons proposé deux formules électorales : la première, composite, prévoit des critères unifiés, et la deuxième permet une élection des députés, en deux temps. Chacune a été agréée par un camp, mais les divergences entre eux portaient sur un siège ou deux tout au plus. Nous sommes prêts à présenter une troisième formule, mais si elle est refusée, nous réclamerons à nouveau l'approbation de la loi dite "orthodoxe", qui assure la parité et une bonne représentation des communautés. (...) S'il existe une volonté d'atermoyer pour ne pas organiser le scrutin, je dois préciser que nous ne représentons pas une minorité. Personne ne pourra se liguer contre nous. Nous ne sommes plus disposés à perdre du temps. (...) En s'absentant de signer le décret de la convocation des collèges électoraux, le président (Michel Aoun) respecte le choix des Libanais, l'accord convenu entre les formations politiques et la Constitution. »

Marwan Hamadé, ministre de l'Éducation, lors de la clôture d'un congrès pédagogique du PNL : « L'examen de la grille des salaires dans le secteur public est sur la bonne voie, mais je ne peux pas en dire de même de la nouvelle loi électorale, sous étude dans des salles obscures où l'on planche sur des formules hybrides, mixtes et autres. Ce qui m'importe dans le texte envisagé, n'est pas le nombre de députés druzes ou celui des députés de notre bloc. (...) L'important est qu'il ne favorise pas un renversement des autorités au Liban et que les forces obscures n'aient pas la majorité parlementaire, parce qu'elles autoriseront tout ; de l'implication dans des axes occultes, à la modification du style de vie, notamment de la coexistence au Liban, en passant par la légalisation des armes au profit d'une seule partie », en allusion au Hezbollah.

Ali Fayad, député du Hezbollah, lors d'une cérémonie de signature d'un livre à Aïta el-Chaab : « Si nous ne sommes toujours pas entendus sur une loi électorale (...), c'est en raison de l'absence de règles et de critères objectifs pour l'élaboration d'une nouvelle formule, au profit de considérations personnelles qui génèrent d'autres, similaires. Nous avons régulièrement appelé à l'adoption de la proportionnelle intégrale qui barre la voie à ce genre d'obstacles et qui permet de concrétiser l'appel du chef de l'État à une loi électorale au sein de laquelle les minorités communautaires et politiques seraient représentées. (...) Nous appelons à un retour à ce mode électoral, surtout que les négociations sur ce dossier sont sur le point de reprendre. »

Gebran Bassil, ministre des Affaires étrangères et chef du Courant patriotique libre (CPL), lors de l'inauguration d'un nouveau bureau du CPL à Enfé, au Liban-Nord : « Le dialogue est important mais pas au détriment du temps. (...) Nous avons proposé deux formules électorales : la première, composite, prévoit des critères unifiés, et la deuxième permet une élection des...

commentaires (0)

Commentaires (0)

Retour en haut