Ayla Hibri est une jeune photographe libanaise qui réussit à imposer une photographie décalée, épurée, poétique et terriblement personnelle. Elle est à la fois un bain de jouvence et une anomalie dans un art où le fake est une norme internationale.
Zokak el-Blatt, où elle réside, est un quartier qui sied comme un gant à la jeune photographe : populaire et vivant, on y trouve autant d'immeubles modernes que de vieilles maisons libanaises. Mais évidemment, c'est dans une maison traditionnelle qu'elle vit, travaille et reçoit. Ça ne pouvait être que ça. L'espace est habité juste par elle, délaissé par les autres membres de la famille, et elle se l'est accaparé.
Ayla Hibri est, après Carlo Massoud, Farid Chéhab et Cynthia Merhej, le quatrième « soldat » de la deuxième édition de Génération Orient, un vaste projet de résistance culturelle lancé, le 17 mai 2016, par « L'Orient-Le Jour » en partenariat avec la Société générale de banque au Liban (SGBL). Génération Orient est uniquement axé sur deux postulats incontournables et indiscutables : la jeunesse et l'art. Parce que plus que tous les autres, ces deux moteurs peuvent assurer la renaissance et la sérénité du Liban.
Retrouvez ici la première édition de Génération Orient
Zokak el-Blatt, où elle réside, est un quartier qui sied comme un gant à la jeune photographe : populaire et vivant, on y...
commentaires (3)
JEUNESSE ET ART... OUI ! MAIS FAUT-IL AUSSI QUE CE SOIT DE L,ART... LA PHOTO AVEC CE SIMAGRE DE LEOPARD AUX CONTOURS D,UN DOGUE PLUTOT N,EN AI PAS UN !
LA LIBRE EXPRESSION
11 h 37, le 22 février 2017