Êtes-vous plus huile de moteur ou huile solaire ? À Monaco, il y en a pour tous les goûts : Max Verstappen participe aux essais dans sa Red Bull pendant qu’en surplomb, une femme se fait bronzer. Pascal Guyot/AFP
Les 22 pilotes qui disputeront demain le Grand Prix de Monaco de F1 ont profité hier d'une journée de repos, une spécificité de l'étape la plus « glamour » du calendrier, au lendemain d'une journée d'essais libres dominée par Red Bull.
Aujourd'hui sera consacré aux qualifications, comme le reste de l'année, mais celles-ci sont plus cruciales qu'ailleurs, car dépasser dans les rues de la principauté est quasiment impossible. Meilleur temps jeudi, Daniel Ricciardo a semé le doute dans les esprits trop habitués à la domination de Mercedes depuis 2014 : et si Red Bull Racing était vraiment de retour ? Plus que la place de l'Australien, l'écart avec les Mercedes – 6/10es de seconde, sur le circuit le plus court et le plus lent de l'année (3,3 km) – a montré les progrès énormes faits cet hiver par l'écurie de Milton Keynes, toujours dirigée par Christian Horner et équipée de moteurs français, des Renault RE16 désormais badgés TAG-Heuer.
Par ailleurs, la F1 cherche toujours un successeur au dernier Français ayant gagné un Grand Prix. En effet, cela fait déjà 20 ans qu'un pilote français n'a pas remporté un GP et c'était justement à Monaco : Olivier Panis, en 1996, dans une Ligier « made in France » propulsée par un moteur japonais Mugen-Honda.
(Source : AFP)
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