Rechercher
Rechercher

Moyen Orient et Monde

Les marques occidentales vendant des vêtements islamiques fustigées en France

Les marques occidentales proposant des vêtements islamiques ont été vivement critiquées, hier, en France. La ministre du Droit des femmes, Laurence Rossignol, a estimé que les marques vendant des vêtements adaptés aux traditions musulmanes, comme le « burkini » (maillot de bain intégral) ou le hijab (foulard islamique), étaient « irresponsables » et faisaient « d'un certain point de vue la promotion de l'enfermement du corps des femmes ». « Lorsque des marques investissent ce marché (...) parce qu'il est lucratif, un marché pour les pays d'Europe, pas un marché pour les pays du Golfe (...), elles se mettent en retrait de leur responsabilité sociale », a-t-elle jugé sur la radio RMC. Des enseignes internationales, dont H & M, Uniqlo et Marks & Spencer, proposent depuis peu des hijabs ou des maillots de bain couvrant l'intégralité du corps, excepté le visage et les mains. La griffe italienne Dolce & Gabbana a créé une ligne de voiles et de tuniques longues destinée spécialement aux femmes musulmanes. « Renoncez au fric, ayez des convictions ! Vous êtes là pour embellir les femmes » : le cofondateur de la maison de couture Yves Saint Laurent, Pierre Bergé, a de son côté lancé un appel aux créateurs qui se lancent dans la mode islamique, les conjurant de « ne pas enfermer les femmes dans des voiles, comme des prisons ». « On n'est pas dans un pays (la France) qui a inventé les droits de l'homme pour faire ces choses-là. C'est absolument inadmissible. Ce n'est pas tolérable », a-t-il insisté.

Les marques occidentales proposant des vêtements islamiques ont été vivement critiquées, hier, en France. La ministre du Droit des femmes, Laurence Rossignol, a estimé que les marques vendant des vêtements adaptés aux traditions musulmanes, comme le « burkini » (maillot de bain intégral) ou le hijab (foulard islamique), étaient « irresponsables » et faisaient « d'un certain...

commentaires (5)

Cet article provoque des réflexes onaniques chez certaines enseignes de mode .

FRIK-A-FRAK

14 h 39, le 31 mars 2016

Tous les commentaires

Commentaires (5)

  • Cet article provoque des réflexes onaniques chez certaines enseignes de mode .

    FRIK-A-FRAK

    14 h 39, le 31 mars 2016

  • QUAND EST-CE QUE LES BIKINIS ET LES MONOKINIS SUR LES VITRINES DES MAGASINS DES DEUX FACES DE LA MEME MONNAIE ?

    LA LIBRE EXPRESSION

    11 h 41, le 31 mars 2016

  • "Pierre Bergé, a lancé un appel aux créateurs qui se lancent dans la mode islamique, les conjurant de « ne pas enfermer les femmes dans des voiles. C'est absolument inadmissible. Ce n'est pas tolérable." ! Läâmâh ! Même lui a renoncé à faire encore plus de fric, afin de contrer cette "tendance-là"....

    ANTOINE-SERGE KARAMAOUN

    05 h 14, le 31 mars 2016

  • Pierre Bergé, a de son côté lancé un appel aux créateurs qui se lancent dans la mode islamique, les conjurant de « ne pas enfermer les femmes dans des voiles, comme des prisons » ASSEZ DIVAGUEE SUR LES VETEMENTS/PRISONS TOUS LES VETEMENTS A CARACTERE RELIGIEUX PORTEES PAR LES HOMMES SERAIENET ALORS DES PRISONS :TOUS LES VETEMENTS DE CUREES,D'EVEQUES,DE DALAI LAMA,DE MOUFTIS OU D'OULEMAS.DE KIMONOS OU D'ABAYAS. ET QU'ON SE RAPPELLE QU'AU DEBUT DU SIECLE LES HOMMES HOMMES BIEN VIRILS DE LA BELLE EPOQUE EUROPEENNNE,SE BAIGNAIENT EN MAILLOTS DE QUI COUVRAIENT LEURS..... SEINS ET LEURS FEMMES PATAUGEAIENT S'ETRENGLAIENT DANS LES VAGUES AVEC LEUS ROBES/BURKINI DE BAIN. LA LUTTE CONTRE L'INTEGRISME ISLAMIQUE SE TROUVE AILLEURS.

    Henrik Yowakim

    04 h 19, le 31 mars 2016

  • Les marques occidentales vendant des vêtements islamiques fustigées en France IL EST AUSSI BARBARE D'OBLIGER LES FEMMES A SE VETIR SELON LA LOI MUSULMANE QUE D'INTERDIRE LA LIBERTEE DE VETEMENENT CE N'EST PAS EN S'ATTAQUENT AUX MARQUES DE VETEMENTS QUE L'ON REGLERA LE PROBLEME DE L'INTEGRISME ISLAMISTE,MAIS EN DEMONTANT ET DECONSTRUISANT LES DOCTRINES TOTALITAIRES QUI SONT DERRIERE L'IMPOSITION DE CES TRADITIONS VESTIMENTAIRES.

    Henrik Yowakim

    04 h 05, le 31 mars 2016

Retour en haut