Le gouvernement yéménite a fait savoir mercredi aux Nations unies qu'il acceptait l'idée d'un cessez-le-feu conditionnel, a déclaré son porte-parole, Rajeh Badi.
"Les autorités yéménites ont informé le secrétaire général de l'Onu, Ban Ki-moon, de leur accord en vue de l'instauration d'une trêve dans les jours à venir", a dit à Reuters Radjeh Badi joint par téléphone en Arabie saoudite, où le gouvernement est en exil.
Le porte-parole précise que le président Abd Rabbo Mansour Hadi pose des conditions préalables à l'instauration d'un tel cessez-le-feu, notamment la libération de prisonniers par les miliciens houthis, principal groupe d'insurgés, et leur retrait de certaines provinces.
Une coalition formée par l'Arabie saoudite bombarde depuis le mois de mars les forces houthies, alliées à l'Iran, dans l'espoir de rétablir Abd Rabbo Mansour Hadi dans ses fonctions.
"Les autorités yéménites ont informé le secrétaire général de l'Onu, Ban Ki-moon, de leur accord en vue de l'instauration d'une trêve dans les jours à venir", a dit à Reuters Radjeh Badi joint par téléphone en Arabie...
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