Hollande et Obama veulent « favoriser une reprise des discussions »
Les présidents français et américain ont « convenu de conjuguer leurs efforts pour favoriser une reprise des discussions » sur la crise grecque, lors d'une conversation téléphonique hier, a affirmé à l'AFP une source proche de l'Élysée.
L'Allemagne prête à rediscuter « après le référendum »
« Si après le référendum le gouvernement grec demandait à reprendre les négociations, nous ne nous y opposerions pas », a déclaré Angela Merkel, lors d'une conférence de presse à Berlin. Le référendum « est évidemment lié au maintien dans l'euro », a ajouté la chancelière allemande, toujours inflexible sur les efforts demandés à Athènes.
La Russie « comprend bien » Tsipras
Le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, « a exprimé sa compréhension pour les actions (d') Alexis Tsipras et espère que Bruxelles évitera un scénario aux conséquences néfastes » pour Athènes, a indiqué son ministère dans un communiqué.
L'Argentine solidaire
L'Argentine, qui a été en défaut de paiement en 2001, a exprimé sa solidarité avec la Grèce et l'a mise en garde contre le risque de « pillage » par des fonds spéculatifs. « Nous voyons qu'ils envisagent (...) de commencer à la piller, comme ils l'ont fait ailleurs », a déclaré le Premier ministre Anibal Fernandez.
La Chine « veut que la Grèce reste dans la zone euro »
Pékin a exhorté « les créanciers concernés à trouver rapidement un accord avec le gouvernement grec et avancer dans leurs discussions pour (surmonter) la crise actuelle », a déclaré le Premier ministre chinois, Li Kequiang, en visite à Bruxelles.
L'Allemagne prête à rediscuter « après le référendum »« Si après...