L'ancien Premier ministre Saad Hariri a affirmé mercredi sur son compte Twitter que "les difficultés et les défis pourraient s'aggraver avec la persistance du vide présidentiel et la paralysie de l'exécutif et du législatif".
Plus tôt dans la journée, la vingt-cinquième séance parlementaire consacrée à l'élection d'un nouveau président de la République libanaise n'a pu se tenir mercredi, le quorum des deux-tiers (86 députés sur 128) n'ayant pas été atteint. Une vingt-sixième séance a été fixée au 15 juillet.
Le chef du gouvernement, Tammam Salam, a décidé de ne pas convoquer le Conseil des ministres jusqu'à nouvelle ordre, dans l'attente que la question des nominations sécuritaires soit tranchée.
Plus tôt dans la journée, la vingt-cinquième séance parlementaire consacrée à l'élection d'un nouveau président de la République libanaise n'a pu se tenir...
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