L'ancien président de la République, Michel Sleiman, a souligné hier, devant ses hôtes, « la nécessité de soutenir l'armée et d'unifier les efforts pour maintenir une solidarité au sein du gouvernement dans le cadre des circonstances difficiles que le pays et la région traversent, notamment à l'ombre du vide présidentiel ».
« L'armée a prouvé en toutes circonstances sa cohésion et son aptitude à rester le rempart qui protège le pays, a indiqué M. Sleiman. Le dernier exemple était Ersal, où l'armée a fait face aux groupes terroristes et les a empêchés d'imposer leur domination sur le pays par cette porte », a-t-il ajouté.
L'ancien chef de l'État a mis en exergue l'importance de « mettre toutes les capacités au service du soutien à l'armée, tant sur le plan politique que militaire ». « L'armée mène la bataille de tous les Libanais face aux actions terroristes », a-t-il noté.
M. Sleiman a ensuite appelé les responsables à « se focaliser sur la question prioritaire, à savoir l'élection d'un président de la République, sans se divertir dans des polémiques latérales et stériles ».
L'ancien président a reçu chez lui à Yarzé le nonce apostolique, Gabriele Caccia, qui l'a tenu au courant de l'approche du Vatican concernant la protection des chrétiens de la région, notamment de Mossoul, pour faciliter leur retour sur la terre de leurs ancêtres.
Michel Sleiman s'est ensuite entretenu avec le représentant personnel du secrétaire général de l'Onu au Liban, Derek Plumbly, avec qui il a évoqué « les mesures prises par le Conseil de sécurité pour faire face à Daech et mettre fin à l'épuration ethnique irakienne inacceptable et sans précédent ».
Il a par ailleurs accordé audience au ministre de l'Économie et du commerce, Alain Hakim, avec qui il a évoqué des dossiers économiques ainsi que « la nécessité d'élire, en priorité, un nouveau président de la République ».
L'ancien chef de l'État a enfin successivement reçu la députée Bahia Hariri et le député Jean Oghassabian, avec lequel il a passé en revue les dossiers politique et sécuritaire, notamment les incidents de Ersal, et la question des forces de l'ordre et des militaires retenus en otage par le Front al-Nosra, ainsi que la nécessité de trouver une issue à la crise présidentielle et à l'état de vacance, « dans la mesure où le pays ne peut pas rester sans tête ».
Liban
Sleiman appelle à soutenir l’armée et à élire un président au plus vite
OLJ / le 27 août 2014 à 00h00
J'AI UNE PROPOSITION : IL Y A DEUX ASPIRANTS À LA MAUDITE... OUI, ELLE EST DEVENUE MAUDITE... CHAISE ! LE DOCTOR... ET LE TÉNOR... LE JAJA ET LE MICHOU... TOUS DEUX UNIQUEMENT SYMPA CHACUN À SES SUIVISTES... L'UN EX GÉNÉRAL PARA, ET L'AUTRE EX GÉNÉRAL JEISHARA. __ PRÊTS À LA PROPOSITION ? BIEN... TIRAGE AU SORT... PILE OU FACE... ET FINISSONS-EN ! QUI A DIT NON ? C'EST TROP DÉMOCRATIQUE, N'EST-CE PAS ?
13 h 01, le 29 août 2014