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Frangié : "Il n'y aura pas au Liban un président qui ne bénéficierait pas du soutien d'Assad"

Le chef des Marada Sleiman Frangié a assuré jeudi qu'"il n'y aura pas au Liban un président qui ne bénéficierait pas du soutien du président syrien Bachar el-Assad".

Dans une interview à la chaîne NBN, M. Frangié a en outre affirmé qu'il se plaçait aux côtés du chef du Courant patriotique libre Michel Aoun dans la course à la présidence. "Je veux un président qui me représente et peu m'importe le moyen constitutionnel pour qu'il soit élu, a-t-il indiqué. Ne pas se présenter aux séances parlementaires est un droit constitutionnel et j'ai déjà clarifié ce point à Bkerké." "Nous ne supportons plus un président faible, a martelé M. Frangié. Nous ne voulons pas un président comme Michel Sleiman (l'ancien président, ndlr)". 

La septième séance parlementaire visant à élire un nouveau chef de l’État n'a pu se tenir mercredi faute de quorum. Elle a été reportée au 2 juillet. Une nouvelle fois, le quorum des deux-tiers (86 députés sur 128) n'a pas été atteint. Soixante-trois députés ont pris place dans l'hémicycle, les clivages entre les deux grands blocs politiques des 8 et 14 Mars restant entiers.






 




Le chef des Marada Sleiman Frangié a assuré jeudi qu'"il n'y aura pas au Liban un président qui ne bénéficierait pas du soutien du président syrien Bachar el-Assad".
Dans une interview à la chaîne NBN, M. Frangié a en outre affirmé qu'il se plaçait aux côtés du chef du Courant patriotique libre Michel Aoun dans la course à la présidence. "Je veux un président qui me représente...