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Agenda - Hommage à Nohad Azar

Et puis soudain, l’absence...

Le 15 mars 2014, une grande dame nous a quittés, comme elle a toujours vécu, avec élégance et discrétion.
Plus d'oracle au bout du fil, prodiguant conseils, services et assistance.
Plus de présence continue à l'écoute de toute doléance, de toute souffrance, prête à intervenir auprès de toute autorité pour soulager un laissé-pour-compte.
Sévère envers elle-même, exigeante vis-à-vis des autres, Nohad ne pouvait pas tolérer la médiocrité.
Autoritaire, disciplinée, endurante mais aussi affectueuse, au cœur tendre, le cœur sur la main, la main tendue pour donner toujours sous retour.
Ayant un sens poussé de l'amitié, de la fidélité, elle était attentive à la grande famille qu'elle entourait jalousement de ses ailes protectrices.
Patriote, loyale, tenace, rien ne pouvait perturber ses principes, altérer ses convictions ou la faire céder à des concessions.
Pionnière à L'Orient des « Potins de la commère », elle a su tisser à la main, avec humour et perspicacité, des réseaux sociaux bien avant qu'ils ne soient systématisés par la technologie.
Attentive aux événements, enthousiaste pour ceux qu'elle aimait, généreuse, elle ne manquait jamais l'occasion de se manifester par un geste d'amour. C'est ainsi que j'ai reçu, le lendemain de son décès, un cadeau qu'elle me destinait, commandé la veille de son entrée à l'hôpital, et qui restera pour moi à jamais un précieux souvenir, gage d'amitié et de profonde affection.

 

Le 15 mars 2014, une grande dame nous a quittés, comme elle a toujours vécu, avec élégance et discrétion.Plus d'oracle au bout du fil, prodiguant conseils, services et assistance.Plus de présence continue à l'écoute de toute doléance, de toute souffrance, prête à intervenir auprès de toute autorité pour soulager un laissé-pour-compte.Sévère envers elle-même, exigeante...