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Liban

Ils ont dit

* Le député Nidal Tohmé : « Nous rendons hommage au rôle national de premier plan joué par le président de la République et qui dérange tous ceux qui ne veulent pas la stabilité dans le pays. Nous sommes fiers des positions du président et nous nous tenons à ses côtés. La visite du patriarche (maronite) au palais de Baabda constitue la consécration de la couverture spirituelle et nationale dont bénéficie le président. Le patriarche a consolidé cette couverture en comparant le président à un cèdre qui fait face à la tempête pour sauvegarder la souveraineté du Liban, laquelle est violée à nos frontières nord. Par sa présence à la réunion du Groupe international de soutien au Liban, le président Michel Sleiman a amené les grandes puissances à accorder à nouveau leur intérêt au Liban. »

*Rachid Derbas, ministre des Affaires sociales  : « Tous les différends entre le 14 Mars et le 8 Mars testent faciles à régler si on les compare au massacre syrien qui s'étend progressivement à une partie du Liban. Le Haut-Commissariat pour les affaires des réfugiés m'a présenté cinq copies d'une carte du Liban sur laquelle sont placés des points rouges indiquant l'emplacement des réfugiés syriens. Dans le dernière carte établie sur la base des chiffres de la fin de l'année 2013, la carte du Liban est devenue presque entièrement rouge, ce qui tire la sonnette d'alarme. »

*Le député Ayoub Hmayed, membre du bloc de Nabih Berry : « La déclaration ministérielle devrait refléter les aspirations de la population, loin de l'extrémisme et des paris sur l'étranger. Nous n'épargnerons aucun effort pour que ce gouvernement puisse assumer ses responsabilités au service des gens. Nous ne modifierons pas nos constantes et nos convictions, et nul ne pourra nous amener à renier le sang et le sacrifice des martyrs. »

* Le député Hani Kobeissy, membre du directoire du mouvement Amal : « Certaines parties tentent de torpiller le gouvernement autour duquel il y a eu un minimum d'entente, et ces parties tentent d'entraver l'action du Parlement et de provoquer un vide au niveau de la présidence de la République (...). Nous ne permettrons pas que le Liban se retrouve sans État, sans souveraineté, sans gouvernement et dépourvu d'indépendance. »

*Le député Kassem Hachem (branche libanaise du Baas syrien) : « Si nous voulons faire preuve véritablement de sérieux dans l'élaboration de la déclaration ministérielle, toutes les factions devraient alors placer en tête de leurs priorités la résistance comme clause principale. Il ne faut pas occulter la résistance comme force dont bénéficie le Liban, qui a libéré la terre et qui a fait face à l'ennemi sioniste. La résistance est une culture et elle représente une noble histoire qui a porté haut le nom du Liban. »

* Le député Ali Bazzi, membre du bureau politique d'Amal : « La résistance est le pilier de la souveraineté nationale. Elle nous permet d'exprimer notre dignité et notre détermination. À qui pourrait bien servir ce débat sur la résistance et sur l'opportunité de la mentionner ou non dans la déclaration ministérielle ? La résistance est solidement implantée dans notre conscience et dans notre terre, et elle mérite donc d'être mentionnée dans la déclaration ministérielle. »

* Le député Nidal Tohmé : « Nous rendons hommage au rôle national de premier plan joué par le président de la République et qui dérange tous ceux qui ne veulent pas la stabilité dans le pays. Nous sommes fiers des positions du président et nous nous tenons à ses côtés. La visite du patriarche (maronite) au palais de Baabda constitue la consécration de la couverture...

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