Des partisans de l’Option libanaise ont manifesté hier devant le Palais de justice près du musée national, pour commémorer la mort d’un de leurs compagnons, Hachem Salmane, assassiné il y a cent jours devant l’ambassade d’Iran à Beyrouth, lors d’une manifestation dénonçant l’intervention du Hezbollah en Syrie. Après l’hymne national, le responsable estudiantin au sein de l’Option libanaise, Hussein Ezzeddine, a rappelé dans un communiqué que « personne n’a encore été arrêté ou inculpé dans cette affaire, après cent jours déjà, malgré le fait que le meurtrier soit connu et n’ait exprimé aucun regret après son crime ».
« Nous sommes venus ici demander justice, et nous ne voulons pas que ce crime reste impuni. Protéger le criminel est un crime envers l’État, et non pas envers l’Option libanaise ou Hachem Salmane uniquement », a ajouté M. Ezzeddine, qui a clamé : « Nous n’accepterons pas que le Liban devienne un État gouverné par un mini-État ou par une milice dotée d’armes illégales. » Et de conclure : « Nous nous rappellerons toujours de Hachem Salmane et de sa cause, car il est devenu le symbole d’une communauté à la volonté réquisitionnée et au destin enlevé. »
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Des partisans de l’Option libanaise ont manifesté hier devant le Palais de justice près du musée national, pour commémorer la mort d’un de leurs compagnons, Hachem Salmane, assassiné il y a cent jours devant l’ambassade d’Iran à Beyrouth, lors d’une manifestation dénonçant l’intervention du Hezbollah en Syrie. Après l’hymne national, le responsable estudiantin au sein de...