La chancelière allemande Angela Merkel a jugé lundi "intéressante" la proposition russe de placer l'arsenal chimique syrien sous contrôle international et a réitéré son opposition catégorique à une intervention militaire.
"Aujourd'hui il y a eu une proposition intéressante avec la Russie qui a appelé pour la première fois la Syrie à mettre son arsenal chimique sous contrôle international", a déclaré la chancelière lors d'une émission télévisée sur la chaîne publique ARD, dans le cadre de la campagne pour les élections législatives du 22 septembre.
"Si les actes suivent, et s'il ne s'agit pas que de gagner du temps et que cela se concrétise, alors l'Allemagne pousserait pour que cette voie soit poursuivie", a ajouté Mme Merkel, qui était entourée d'un groupe de 150 électeurs représentatifs du corps électoral allemand.
"Il faut tout essayer pour y arriver sans intervention militaire", a encore dit la chancelière.
Elle a également répété très clairement qu'en cas d'intervention militaire en Syrie, "l'Allemagne ne (s'engagerait) sous aucune condition, quel que soit le mandat".
"Après l'emploi d'armes chimiques nous ne pouvons pas ignorer la Syrie, car il y a une convention internationale qui en interdit l'usage", a expliqué Mme Merkel.
Mais "les interventions militaires sont toujours un dernier recours", il faut "donner toutes les chances possibles au droit international" avant d'envisager des actions militaires, a-t-elle plaidé, appelant avant tout à "attendre le rapport des inspecteurs" de l'ONU sur l'utilisation d'armes chimiques en Syrie.
Mme Merkel, qui espère un troisième mandat de quatre ans à la tête d'un pays dont la population est résolument opposée aux interventions militaires extérieures, a surpris vendredi en ne signant pas l'appel à une réaction internationale "forte" après les attaques chimiques en Syrie, qui avait été signé par onze pays, dont les Etats-Unis, au sommet du G20.
Berlin ne l'a fait que 24 heures plus tard, invoquant la nécessité d'une coordination européenne, ce qui était très vivement critiqué par l'opposition et une grande partie des éditorialistes lundi.
La Russie, allié indéfectible du régime syrien, a tenté de reprendre la main sur le dossier lundi en proposant à Damas de placer son arsenal chimique sous contrôle international.
La Syrie a immédiatement "accueilli favorablement" cette proposition, par la voix de son ministre des Affaires étrangères, Walid Mouallem, sans être plus spécifique.
Les Etats-Unis ont aussi accueilli favorablement mais avec prudence la proposition russe, tout en faisant part de leur scepticisme sur les véritables intentions du régime de Bachar al-Assad.
"Aujourd'hui il y a eu une proposition intéressante avec la Russie qui a appelé pour la première fois la Syrie à mettre son arsenal chimique sous contrôle international", a déclaré la chancelière lors d'une émission télévisée sur la chaîne publique ARD, dans le cadre de la campagne pour les élections législatives du 22 septembre.
"Si les actes suivent, et s'il ne s'agit pas que de gagner du temps et que cela se concrétise, alors l'Allemagne pousserait pour que cette voie soit poursuivie", a ajouté Mme Merkel, qui était entourée d'un groupe de 150 électeurs représentatifs du corps électoral allemand.
"Il faut tout essayer pour y arriver sans intervention militaire", a encore dit la chancelière.
Elle a également répété très clairement qu'en cas d'intervention militaire en Syrie, "l'Allemagne ne (s'engagerait) sous aucune condition, quel que soit le mandat".
"Après l'emploi d'armes chimiques nous ne pouvons pas ignorer la Syrie, car il y a une convention internationale qui en interdit l'usage", a expliqué Mme Merkel.
Mais "les interventions militaires sont toujours un dernier recours", il faut "donner toutes les chances possibles au droit international" avant d'envisager des actions militaires, a-t-elle plaidé, appelant avant tout à "attendre le rapport des inspecteurs" de l'ONU sur l'utilisation d'armes chimiques en Syrie.
Mme Merkel, qui espère un troisième mandat de quatre ans à la tête d'un pays dont la population est résolument opposée aux interventions militaires extérieures, a surpris vendredi en ne signant pas l'appel à une réaction internationale "forte" après les attaques chimiques en Syrie, qui avait été signé par onze pays, dont les Etats-Unis, au sommet du G20.
Berlin ne l'a fait que 24 heures plus tard, invoquant la nécessité d'une coordination européenne, ce qui était très vivement critiqué par l'opposition et une grande partie des éditorialistes lundi.
La Russie, allié indéfectible du régime syrien, a tenté de reprendre la main sur le dossier lundi en proposant à Damas de placer son arsenal chimique sous contrôle international.
La Syrie a immédiatement "accueilli favorablement" cette proposition, par la voix de son ministre des Affaires étrangères, Walid Mouallem, sans être plus spécifique.
Les Etats-Unis ont aussi accueilli favorablement mais avec prudence la proposition russe, tout en faisant part de leur scepticisme sur les véritables intentions du régime de Bachar al-Assad.
La chancelière allemande Angela Merkel a jugé lundi "intéressante" la proposition russe de placer l'arsenal chimique syrien sous contrôle international et a réitéré son opposition catégorique à une intervention militaire."Aujourd'hui il y a eu une proposition intéressante avec la Russie qui a appelé pour la première fois la Syrie à mettre son arsenal chimique sous contrôle...
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