La Bourse de New York avançait légèrement en début de séance mercredi, restant prudente au vu des incertitudes concernant la Syrie et avant un indicateur sur l'immobilier américain : le Dow Jones grappillait 0,09% et le Nasdaq 0,26%.
Vers 13H50 GMT, l'indice vedette Dow Jones Industrial Average grignotait 13,59 points à 14.789,72 points et le Nasdaq, à dominante technologique, 9,22 points, à 3.587,74 points.
L'indice élargi Standard & Poor's 500 progressait de 0,08% (+1,31 point), à 1.631,79 points.
Wall Street avait accusé des pertes substantielles mardi, réagissant nettement aux menaces d'une intervention militaire de Washington et ses alliés contre le régime de Damas: le Dow Jones avait cédé 1,14% à 14.776,13 points et le Nasdaq 2,16% à 3.578,52 points.
"Après avoir enregistré son pire recul depuis juin, le marché des actions américains se reprend légèrement", selon les analystes de Charles Schwab.
Mais "les craintes liées à une possible frappe militaire contre la Syrie menée par les Etats-Unis continuent d'inciter les investisseurs à prendre peu de risques" de peur que le conflit ne prenne une dimension beaucoup plus internationale, ont-ils remarqué.
Plusieurs pays occidentaux semblaient mercredi sur le point de lancer une frappe contre le régime syrien, accusé d'une attaque meurtrière aux armes chimiques la semaine dernière.
Le Royaume-Uni a notamment indiqué qu'il allait présenter une résolution au Conseil de sécurité de l'ONU autorisant "toutes les mesures nécessaires (...) pour protéger les civils contre les armes chimiques" quand les alliés russe et iranien de Damas mettaient en garde contre une déstabilisation de l'ensemble de la région.
Les investisseurs attendaient aussi la publication d'un indicateur sur les promesses de vente de logements à 14H00 GMT, le secteur de l'immobilier étant considéré comme un secteur clé aux Etats-Unis et son rétablissement étant perçu comme essentiel pour une véritable reprise.
La semaine dernière, le marché avait été troublé par l'annonce d'un fort recul des ventes de maisons neuves en juillet.
Mais pour l'instant, "la Syrie semble s'être installée sur le devant de la scène", a observé Patrick O'Hare de Briefing.com. "A tel point que certains prédisent que l'incertitude concernant la situation syrienne puisse inciter la Fed (la banque centrale américaine) à ne pas annoncer en septembre un ralentissement de ses mesures de soutien à l'économie."
Le marché obligataire reculait. Le rendement du bon du Trésor à 10 ans progressait à 2,762% contre 2,721% mardi soir et celui à 30 ans à 3,740% contre 3,703% la veille.
Vers 13H50 GMT, l'indice vedette Dow Jones Industrial Average grignotait 13,59 points à 14.789,72 points et le Nasdaq, à dominante technologique, 9,22 points, à 3.587,74 points.
L'indice élargi Standard & Poor's 500 progressait de 0,08% (+1,31 point), à 1.631,79 points.
Wall Street avait accusé des pertes substantielles mardi, réagissant nettement aux menaces d'une intervention militaire de Washington et ses alliés contre le régime de Damas: le Dow Jones avait cédé 1,14% à 14.776,13 points et le Nasdaq 2,16% à 3.578,52 points.
"Après avoir enregistré son pire recul depuis juin, le marché des actions américains se reprend légèrement", selon les analystes de Charles Schwab.
Mais "les craintes liées à une possible frappe militaire contre la Syrie menée par les Etats-Unis continuent d'inciter les investisseurs à prendre peu de risques" de peur que le conflit ne prenne une dimension beaucoup plus internationale, ont-ils remarqué.
Plusieurs pays occidentaux semblaient mercredi sur le point de lancer une frappe contre le régime syrien, accusé d'une attaque meurtrière aux armes chimiques la semaine dernière.
Le Royaume-Uni a notamment indiqué qu'il allait présenter une résolution au Conseil de sécurité de l'ONU autorisant "toutes les mesures nécessaires (...) pour protéger les civils contre les armes chimiques" quand les alliés russe et iranien de Damas mettaient en garde contre une déstabilisation de l'ensemble de la région.
Les investisseurs attendaient aussi la publication d'un indicateur sur les promesses de vente de logements à 14H00 GMT, le secteur de l'immobilier étant considéré comme un secteur clé aux Etats-Unis et son rétablissement étant perçu comme essentiel pour une véritable reprise.
La semaine dernière, le marché avait été troublé par l'annonce d'un fort recul des ventes de maisons neuves en juillet.
Mais pour l'instant, "la Syrie semble s'être installée sur le devant de la scène", a observé Patrick O'Hare de Briefing.com. "A tel point que certains prédisent que l'incertitude concernant la situation syrienne puisse inciter la Fed (la banque centrale américaine) à ne pas annoncer en septembre un ralentissement de ses mesures de soutien à l'économie."
Le marché obligataire reculait. Le rendement du bon du Trésor à 10 ans progressait à 2,762% contre 2,721% mardi soir et celui à 30 ans à 3,740% contre 3,703% la veille.
La Bourse de New York avançait légèrement en début de séance mercredi, restant prudente au vu des incertitudes concernant la Syrie et avant un indicateur sur l'immobilier américain : le Dow Jones grappillait 0,09% et le Nasdaq 0,26%.Vers 13H50 GMT, l'indice vedette Dow Jones Industrial Average grignotait 13,59 points à 14.789,72 points et le Nasdaq, à dominante technologique, 9,22 points,...
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