« Le député Jean Oghassabian nous a informés des mesures qui avaient été prises par le gouvernement en 2006, a poursuivi M. Kabbani. Il avait été lui-même chargé à l’époque de faire une étude au sujet des caméras. Un plan avait été élaboré sur base de cette étude. Un don des Émirats arabes unis devait alors financer le plan, qui n’a malheureusement jamais été réalisé. Nous demandons qu’il le soit, et de manière urgente. »
Le député a avancé une autre idée susceptible, selon les participants à la réunion, de protéger la capitale. « Il faut dynamiser le rôle de la police municipale de Beyrouth, afin qu’elle devienne une source d’information pour les forces de sécurité, a-t-il dit. Il est vrai que les policiers municipaux n’ont pas de prérogative pour réprimer les infractions, mais ils sont formés pour surveiller la ville, à travers leurs quatorze centres. Ils sont au nombre de 600 et sont parfaitement capables de surveiller les lieux de rassemblement. »
M. Kabbani a parlé d’autres mesures à prendre comme celle d’enlever les voitures garées sur la route et abandonnées, et celle de maintenir le contact avec les banques qui sont dotées de caméras de surveillance 24h/24... Étaient présents à la réunion les députés Atef Majdalani, Nabil de Freige, Jean Oghassabian, Ammar Houri, Sebouh Kalbakian, Bassem el-Chab, Arthur Nazarian et Nadim Gemayel, ainsi que le président du conseil municipal de Beyrouth, Bilal Hamad, le mohafez de Beyouth Nassif Kalouche, le chef de la gendarmerie de la capitale, le général Dib Tbeili, et le président du service des opérations dans la gendarmerie, le colonel Élie Kallas.
Ah...! si au moins il y avait des caméras de surveillance ...pour surveiller le bakchich système....! nous aurions moins peur pour le budget de l'éta
19 h 37, le 27 août 2013