Le secrétaire d'Etat adjoint américain, William Burns a condamné lundi l'implication du Hezbollah dans le conflit en Syrie estimant qu'elle "ne sert pas l'intérêt du Liban".
Les activités du mouvement chiite "constituent une violation de la politique de distanciation adoptée par le gouvernement libanais" à l'égard de la crise syrienne, a estimé M. Burns lors d'une conférence de presse à l'issue de sa rencontre avec le président de la République Michel Sleiman.
"L'implication du Hezbollah dans les combats en Syrie sert les intérêts de Téhéran et de Damas", a-t-il ajouté.
M. Burns a par ailleurs félicité les Libanais pour leur générosité et pour avoir accueilli les réfugiés syriens. Il a annoncé une aide supplémentaire de la part des Etats-Unis aux pays voisins de la Syrie.
Le diplomate américain a également présenté ses condoléances à M. Sleiman pour les soldats libanais tombés lors des affrontements à Saïda, la semaine passée.
Il a aussi indiqué que Washington allait poursuivre son soutien à l'institution militaire libanaise et aux forces de sécurité.
Le Hezbollah, allié indéfectible de Damas, a joué un rôle déterminant dans la reconquête début juin par l'armée syrienne de Qousseir, ancien bastion stratégique rebelle proche de la frontière libanaise et son chef, Hassan Nasrallah, avait affirmé le 14 juin que sa formation resterait impliquée dans le conflit en Syrie.
Les activités du mouvement chiite "constituent une violation de la politique de distanciation adoptée par le gouvernement libanais" à l'égard de la crise syrienne, a estimé M. Burns lors d'une conférence de presse à l'issue de sa rencontre avec le président de la République Michel Sleiman.
"L'implication du Hezbollah dans les combats en Syrie sert les intérêts de Téhéran et de Damas", a-t-il ajouté.
M. Burns a par ailleurs félicité les Libanais pour leur générosité et pour avoir accueilli les réfugiés syriens. Il a annoncé une aide supplémentaire de la part des Etats-Unis aux pays voisins de la Syrie.
Le diplomate américain a également présenté ses condoléances à M. Sleiman pour les soldats libanais tombés lors des affrontements à Saïda, la semaine passée.
Il a aussi indiqué que Washington allait poursuivre son soutien à l'institution militaire libanaise et aux forces de sécurité.
Le Hezbollah, allié indéfectible de Damas, a joué un rôle déterminant dans la reconquête début juin par l'armée syrienne de Qousseir, ancien bastion stratégique rebelle proche de la frontière libanaise et son chef, Hassan Nasrallah, avait affirmé le 14 juin que sa formation resterait impliquée dans le conflit en Syrie.
Le secrétaire d'Etat adjoint américain, William Burns a condamné lundi l'implication du Hezbollah dans le conflit en Syrie estimant qu'elle "ne sert pas l'intérêt du Liban". Les activités du mouvement chiite "constituent une violation de la politique de distanciation adoptée par le gouvernement libanais" à l'égard de la crise syrienne, a estimé M. Burns lors d'une conférence de presse...
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