Le Haut commissaire aux réfugiés de l'ONU et le chef de la diplomatie européenne, en visite mardi au Liban, ont fait part de leur vive inquiétude quant aux conséquences de l'afflux de plus de 530.000 réfugiés syriens dans ce petit pays.
Le Haut commissaire aux réfugiés de l'ONU Antonio Guterres "a tiré la sonnette d'alarme concernant l'aide massive dont les réfugiés ainsi que les pays (...) les accueillant ont besoin", selon un communiqué.
M. Guterres a également affirmé que le nombre de Syriens ayant fui les violences dans leur pays pour le Liban devrait atteindre "plus d'un million d'ici la fin 2013".
Il a en outre indiqué que la menace d'une contagion du conflit à la région était "désormais devenue une dure réalité".
"Le Liban et d'autres pays voisins ont besoin d'une aide massive pour pouvoir continuer à recevoir et aider autant de réfugiés, tout en préservant leur stabilité", a indiqué M. Guterres.
La semaine dernière, le Liban, l'ONU et des ONG humanitaires ont lancé un appel pour recueillir 1,7 milliard de dollars et aider à financer l'accueil de ces réfugiés.
Le chef de la diplomatie de l'UE Catherine Ashton a de son côté exhorté à trouver "une solution politique au conflit en Syrie".
Elle a également qualifié de priorité la "désescalade des tensions" au Liban, selon un communiqué.
Les tensions confessionnelles au Liban se sont exacerbées avec le conflit en Syrie voisine, où le mouvement chiite Hezbollah est engagé aux côtés des troupes du président Bachar al-Assad face aux rebelles, en majorité sunnites.
Mme Ashton soutient "la politique officielle de dissociation du Liban par rapport au combats en Syrie", selon le texte.
Le Liban prône officiellement une politique de neutralité face au conflit, mais celle-ci est mise à mal en raison de la profonde division du pays entre partisans et adversaires du régime de Damas.
Selon des chiffres de l'ONU, le petit pays méditerranéen a reçu le nombre le plus important de réfugiés syriens par rapport aux autres pays voisins.
Le Haut commissaire aux réfugiés de l'ONU Antonio Guterres "a tiré la sonnette d'alarme concernant l'aide massive dont les réfugiés ainsi que les pays (...) les accueillant ont besoin", selon un communiqué.
M. Guterres a également affirmé que le nombre de Syriens ayant fui les violences dans leur pays pour le Liban devrait atteindre "plus d'un million d'ici la fin 2013".
Il a en outre indiqué que la menace d'une contagion du conflit à la région était "désormais devenue une dure réalité".
"Le Liban et d'autres pays voisins ont besoin d'une aide massive pour pouvoir continuer à recevoir et aider autant de réfugiés, tout en préservant leur stabilité", a indiqué M. Guterres.
La semaine dernière, le Liban, l'ONU et des ONG humanitaires ont lancé un appel pour recueillir 1,7 milliard de dollars et aider à financer l'accueil de ces réfugiés.
Le chef de la diplomatie de l'UE Catherine Ashton a de son côté exhorté à trouver "une solution politique au conflit en Syrie".
Elle a également qualifié de priorité la "désescalade des tensions" au Liban, selon un communiqué.
Les tensions confessionnelles au Liban se sont exacerbées avec le conflit en Syrie voisine, où le mouvement chiite Hezbollah est engagé aux côtés des troupes du président Bachar al-Assad face aux rebelles, en majorité sunnites.
Mme Ashton soutient "la politique officielle de dissociation du Liban par rapport au combats en Syrie", selon le texte.
Le Liban prône officiellement une politique de neutralité face au conflit, mais celle-ci est mise à mal en raison de la profonde division du pays entre partisans et adversaires du régime de Damas.
Selon des chiffres de l'ONU, le petit pays méditerranéen a reçu le nombre le plus important de réfugiés syriens par rapport aux autres pays voisins.
Le Haut commissaire aux réfugiés de l'ONU et le chef de la diplomatie européenne, en visite mardi au Liban, ont fait part de leur vive inquiétude quant aux conséquences de l'afflux de plus de 530.000 réfugiés syriens dans ce petit pays.Le Haut commissaire aux réfugiés de l'ONU Antonio Guterres "a tiré la sonnette d'alarme concernant l'aide massive dont les réfugiés ainsi que les pays...
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