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Économie

Les membres de la délégation libanaise

Adnane Kassar, président des instances économiques
Mohammad Choucair, président de la Chambre de commerce, d’industrie et d’agriculture de Beyrouth et du Mont-Liban
Pierre Achkar, président du syndicat des établissements touristiques
Samir Hanna, directeur général de Bank Audi, représentant de l’Association des banques libanaises (ABL)
Neemat Frem, président de l’Association des industriels libanais (AIL)
Nicolas Chammas, président des l’Association des commerçants de Beyrouth (ACB)
Wajih Bizri, président de la Chambre de commerce internationale
Bahige Abou Hamza, président des sociétés importatrices de pétrole
Fouad Zmokhol, président du rassemblement des chefs d’entreprise libanais (RDCL)
Assaad Mirza, président de l’Association des compagnies d’assurances libanaises (ACAL)
Mohammad Lamaa, vice-président de la Chambre de commerce de Beyrouth et du Mont-Liban
Raouf Abou Zaki, président du groupe al-Iktissad wal Aamal
Imad Chéhab, secrétaire général de l’Union des Chambres arabes de commerce, d’industrie et d’agriculture.
Adnane Kassar, président des instances économiquesMohammad Choucair, président de la Chambre de commerce, d’industrie et d’agriculture de Beyrouth et du Mont-LibanPierre Achkar, président du syndicat des établissements touristiquesSamir Hanna, directeur général de Bank Audi, représentant de l’Association des banques libanaises (ABL)Neemat Frem, président de l’Association des...

commentaires (1)

Ils sont allés en Arabie Saoudite neutraliser et nettoyer les saletés répandues par qui l'on sait. Il est également nécessaire que ces personnalités représentant les éminentes entités de l'économie libanaise, donc du poumon de survie du Liban, appellent un chat un chat ici même à Beyrouth. Il y a trop d'irresponsabilité dans la politique dans ce pays, et il faut qu'ils aient le courage de dénoncer cela. Les salamalecs sont insuffisants et inopérants.

Halim Abou Chacra

06 h 26, le 12 mars 2013

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Commentaires (1)

  • Ils sont allés en Arabie Saoudite neutraliser et nettoyer les saletés répandues par qui l'on sait. Il est également nécessaire que ces personnalités représentant les éminentes entités de l'économie libanaise, donc du poumon de survie du Liban, appellent un chat un chat ici même à Beyrouth. Il y a trop d'irresponsabilité dans la politique dans ce pays, et il faut qu'ils aient le courage de dénoncer cela. Les salamalecs sont insuffisants et inopérants.

    Halim Abou Chacra

    06 h 26, le 12 mars 2013

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