L'actrice américaine Mia Farrow, ambassadrice de bonne volonté de l'Unicef, a appelé mardi la communauté internationale à accroître son aide pour les "victimes les plus vulnérables" du conflit syrien, après une visite de deux jours au Liban auprès de réfugiés.
Soulignant que 75% des réfugiés au Liban sont des femmes et des enfants, elle a souligné devant des journalistes à Beyrouth qu'ils avaient "fui l'horreur", "laissé derrière eux tout ce qu'ils aimaient" et "étaient les victimes les plus vulnérables d'une guerre qui n'est pas de leur fait".
Mia Farrow, qui s'est rendue dans des campements de tentes et d'abris de fortune dans la vallée de la Bekaa (est) et dans la région frontalière de Wadi Khaled (nord), a décrit comme "affreuses" les conditions de vie des réfugiés.
"Les gens vivent dans la boue", a-t-elle raconté, en soulignant que pour se protéger du froid, certains utilisaient des "chauffages toxiques".
Evoquant une adolescente de 15 ans enceinte, dont la tente s'était effondrée en raison de la tempête, elle s'est interrogée "quelles sont les perspectives pour cet enfant?", appelant la communauté internationale à augmenter son aide.
La visite de l'actrice américaine intervient quelques jours après une tempête, l'une des pires qu'a connues la région, qui a provoqué des inondations dans les camps de réfugiés, aggravant encore leurs conditions de vie déjà difficiles.
Le Haut commissariat de l'ONU aux réfugiés (HCR) a indiqué la semaine dernière que le nombre de réfugiés syriens enregistrés dans les pays voisins et en Afrique du Nord dépassaient les 600.000, dont quelque 200.000 au Liban.
L'ONU s'attend à ce que leur nombre atteigne 1,1 million d'ici juin si la guerre civile se poursuit en Syrie.
Soulignant que 75% des réfugiés au Liban sont des femmes et des enfants, elle a souligné devant des journalistes à Beyrouth qu'ils avaient "fui l'horreur", "laissé derrière eux tout ce qu'ils aimaient" et "étaient les victimes les plus vulnérables d'une guerre qui n'est pas de leur fait".
Mia Farrow, qui s'est rendue dans des campements de tentes et d'abris de fortune dans la vallée de la Bekaa (est) et dans la région frontalière de Wadi Khaled (nord), a décrit comme "affreuses" les conditions de vie des réfugiés.
"Les gens vivent dans la boue", a-t-elle raconté, en soulignant que pour se protéger du froid, certains utilisaient des "chauffages toxiques".
Evoquant une adolescente de 15 ans enceinte, dont la tente s'était effondrée en raison de la tempête, elle s'est interrogée "quelles sont les perspectives pour cet enfant?", appelant la communauté internationale à augmenter son aide.
La visite de l'actrice américaine intervient quelques jours après une tempête, l'une des pires qu'a connues la région, qui a provoqué des inondations dans les camps de réfugiés, aggravant encore leurs conditions de vie déjà difficiles.
Le Haut commissariat de l'ONU aux réfugiés (HCR) a indiqué la semaine dernière que le nombre de réfugiés syriens enregistrés dans les pays voisins et en Afrique du Nord dépassaient les 600.000, dont quelque 200.000 au Liban.
L'ONU s'attend à ce que leur nombre atteigne 1,1 million d'ici juin si la guerre civile se poursuit en Syrie.
L'actrice américaine Mia Farrow, ambassadrice de bonne volonté de l'Unicef, a appelé mardi la communauté internationale à accroître son aide pour les "victimes les plus vulnérables" du conflit syrien, après une visite de deux jours au Liban auprès de réfugiés.Soulignant que 75% des réfugiés au Liban sont des femmes et des enfants, elle a souligné devant des journalistes à Beyrouth...
Les plus commentés
Raï appelle à "ne pas succomber aux pressions et tentations" de l'UE, après le don d'un milliard d'euros de Bruxelles
Berlin, l’Eldorado perdu des Arabes
Écran noir pour Al-Jazeera en Israël