Le secrétaire général de l'Otan, Anders Fogh Rasmussen, a exprimé sa "ferme condamnation" à la suite des tirs en provenance de Syrie, qui ont fait cinq morts en Turquie, a déclaré mercredi à l'AFP une porte-parole de l'Alliance atlantique.
M. Rasmussen "s'est entretenu avec le ministre turc des Affaires étrangères, Ahmet Davutoglu. Il a exprimé sa ferme condamnation de l'incident", a poursuivi cette porte-parole, Oana Lungescu.
Des obus tirés mercredi depuis le côté syrien de la frontière commune ont tué cinq personnes et en ont blessé neuf autres dans le sud-est de la Turquie.
"L'Otan continue à suivre la situation de près et avec une grande préoccupation", a-t-elle ajouté.
M. Rasmussen a exprimé à M. Davutoglu "ses sincères condoléances et sa solidarité envers les familles et les proches des morts et des blessés, et envers l'ensemble du peuple turc", a dit la porte-parole.
Ces tirs, dont l'origine restait à déterminer, ont frappé le village d'Akçakale, située juste en face du poste-frontière syrien de Tall al-Abyad qui a récemmentété le théâtre d'intenses combats entre l'armée fidèle au président syrien Bachar al-Assad et les rebelles de l'Armée syrienne libre (ASL).
M. Davutoglu en a immédiatement informé le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon et a convoqué une réunion d'urgence à son ministère.
Le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a lui aussi réuni ses conseillers pour, selon une source informée, se tenir informé de la situation et étudier une éventuelle riposte.
L'incident est le plus grave survenu entre la Turquie et la Syrie voisine depuis juin, lorsque la défense anti-aérienne syrienne a abattu un avion de combat turc, provoquant la mort de ses deux pilotes. La Turquie avait alors saisi l'Otan.
M. Rasmussen "s'est entretenu avec le ministre turc des Affaires étrangères, Ahmet Davutoglu. Il a exprimé sa ferme condamnation de l'incident", a poursuivi cette porte-parole, Oana Lungescu.
Des obus tirés mercredi depuis le côté syrien de la frontière commune ont tué cinq personnes et en ont blessé neuf autres dans le sud-est de la Turquie.
"L'Otan continue à suivre la situation de près et avec une grande préoccupation", a-t-elle ajouté.
M. Rasmussen a exprimé à M. Davutoglu "ses sincères condoléances et sa solidarité envers les familles et les proches des morts et des blessés, et envers l'ensemble du peuple turc", a dit la porte-parole.
Ces tirs, dont l'origine restait à déterminer, ont frappé le village d'Akçakale, située juste en face du poste-frontière syrien de Tall al-Abyad qui a récemmentété le théâtre d'intenses combats entre l'armée fidèle au président syrien Bachar al-Assad et les rebelles de l'Armée syrienne libre (ASL).
M. Davutoglu en a immédiatement informé le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon et a convoqué une réunion d'urgence à son ministère.
Le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a lui aussi réuni ses conseillers pour, selon une source informée, se tenir informé de la situation et étudier une éventuelle riposte.
L'incident est le plus grave survenu entre la Turquie et la Syrie voisine depuis juin, lorsque la défense anti-aérienne syrienne a abattu un avion de combat turc, provoquant la mort de ses deux pilotes. La Turquie avait alors saisi l'Otan.
Le secrétaire général de l'Otan, Anders Fogh Rasmussen, a exprimé sa "ferme condamnation" à la suite des tirs en provenance de Syrie, qui ont fait cinq morts en Turquie, a déclaré mercredi à l'AFP une porte-parole de l'Alliance atlantique.M. Rasmussen "s'est entretenu avec le ministre turc des Affaires étrangères, Ahmet Davutoglu. Il a exprimé sa ferme condamnation de l'incident", a...
Les plus commentés
Retour des Syriens : Assad s'impose dans le débat
Nasrallah : Israël n’a réalisé aucun de ses objectifs dans cette guerre
Crise migratoire : un faux dilemme pour le Liban