Le président égyptien Mohamed Morsi, issu des Frères musulmans, a attribué plusieurs postes de gouverneur provincial à des membres de son mouvement, dans le cadre de ce que certains assimilent à une purge des cadres de l'ancien régime.
Ses services ont annoncé la nomination de dix nouveaux gouverneurs, choisis selon eux en fonction de leur mérite plutôt que de leur appartenance politique.
Au moins trois d'entre eux sont des personnalités connues de la confrérie, interdite sous le règne d'Hosni Moubarak. Ils ont été nommés dans les provinces de Minya, de Kafr el Cheikh et de Manoufiya. Trois autres entretiennent des liens avec le mouvement islamiste, croit savoir un journal local.
Trois généraux ont par ailleurs été nommés gouverneur à Suez, sur la mer Rouge, et dans le Nord-Sinaï, des régions frontalières sensibles.
L'armée égyptienne a lancé une vaste offensive dans le Sinaï après la mort en août de 16 gardes-frontières imputée à un mouvement islamiste local, ce qui a suscité l'inquiétude en Israël.
Ses services ont annoncé la nomination de dix nouveaux gouverneurs, choisis selon eux en fonction de leur mérite plutôt que de leur appartenance politique.
Au moins trois d'entre eux sont des personnalités connues de la confrérie, interdite sous le règne d'Hosni Moubarak. Ils ont été nommés dans les provinces de Minya, de Kafr el Cheikh et de Manoufiya. Trois autres entretiennent des liens avec le mouvement islamiste, croit savoir un journal local.
Trois généraux ont par ailleurs été nommés gouverneur à Suez, sur la mer Rouge, et dans le Nord-Sinaï, des régions frontalières...