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Agenda

Une grande figure de l’âge d’or de la presse

Avec Ghassan Tuéni, le Liban a perdu l’une des dernières grandes figures de l’âge d’or de la presse libanaise. Homme politique, diplomate, Ghassan Tuéni était en effet avant tout un patron de presse à la direction d’an-Nahar, fondé par son père Gebran, dont il avait fait l’un des grands journaux indépendants du monde arabe.
Homme de dialogue, patriote sincère, hostile aux replis confessionnels, Ghassan Tuéni était le doyen respecté de tous les journalistes libanais et arabes. Au nom de l’Association des femmes arabes de la presse à Paris et de la rédaction des journaux al-Yom et al-Ayam, j’adresse à sa famille et à l’équipe d’an-Nahar mes sincères condoléances avec un souvenir particulier pour son fils, mon ami Gebran Tueni, assassiné en 2005.

Zeina Wafic EL-TIBI
Présidente de l’Association des femmes
arabes de la presse (Paris)
Avec Ghassan Tuéni, le Liban a perdu l’une des dernières grandes figures de l’âge d’or de la presse libanaise. Homme politique, diplomate, Ghassan Tuéni était en effet avant tout un patron de presse à la direction d’an-Nahar, fondé par son père Gebran, dont il avait fait l’un des grands journaux indépendants du monde arabe. Homme de dialogue, patriote sincère,...