Le président François Hollande a condamné "la poursuite constante de la répression sanglante" en Syrie, vendredi lors d'une conversation téléphonique avec son homologue libanais Michel Sleimane, selon un communiqué de l'Elysée.
"Les deux dirigeants ont évoqué l'aggravation de la situation en Syrie et ses conséquences préoccupantes pour le Liban comme pour l'ensemble de la région", affirme l'Elysée.
Le président Hollande "a condamné la poursuite constante de la répression sanglante par le régime de Bachar al-Assad et réaffirmé son soutien aux autorités et aux institutions libanaises, ainsi que son attachement à l'indépendance, à l'unité, à la stabilité et à l'intégrité territoriale du Liban".
"Les événements de ces derniers jours en Syrie et au Liban manifestent une fois de plus le danger de la poursuite inacceptable de la répression en Syrie. A cet égard, la France, comme ses partenaires de la communauté internationale, ne saurait accepter les violations de la souveraineté des pays voisins de la Syrie", a souligné M. Hollande, selon la même source.
Il a "salué l'accueil fourni par le Liban aux citoyens syriens cherchant refuge loin de la violence, et rappelé que l'Union européenne, avec le soutien de la France, a mis en place un fonds d'aide de 10 millions d'euros à la disposition du Liban".
M. Hollande a également "salué le discours responsable des dirigeants politiques libanais, issus de toutes les tendances, qui adressent des messages d'apaisement à la population libanaise, et les appels au dialogue, notamment celui lancé par le président Sleimane. Le dialogue est en effet plus que jamais nécessaire", a-t-il déclaré.
Le Président de la République a réaffirmé "le soutien sans faille de la France à la mission de Kofi Annan, envoyé spécial conjoint des Nations Unies et de la Ligue arabe, et à la mise en oeuvre effective de son plan de paix pour la Syrie. Le Conseil de sécurité des Nations Unies doit rester mobilisé et soutenir la mission de M. Annan", a-t-il affirmé.
Il a informé son homologue libanais que "la France préparait activement une réunion à Paris le 6 juillet du groupe des amis du peuple syrien".
Enfin, "il a exprimé sa volonté de donner une nouvelle impulsion aux relations bilatérales entre les deux pays afin de renforcer encore les liens d'amitié entre la France et le Liban", indique également le communiqué.
"Les deux dirigeants ont évoqué l'aggravation de la situation en Syrie et ses conséquences préoccupantes pour le Liban comme pour l'ensemble de la région", affirme l'Elysée.
Le président Hollande "a condamné la poursuite constante de la répression sanglante par le régime de Bachar al-Assad et réaffirmé son soutien aux autorités et aux institutions libanaises, ainsi que son attachement à l'indépendance, à l'unité, à la stabilité et à l'intégrité territoriale du Liban".
"Les événements de ces derniers jours en Syrie et au Liban manifestent une fois de plus le danger de la poursuite inacceptable de la répression en Syrie. A cet égard, la France, comme ses partenaires de la communauté internationale, ne saurait accepter les violations de la souveraineté des pays voisins de la Syrie", a souligné M. Hollande, selon la même source.
Il a "salué l'accueil fourni par le Liban aux citoyens syriens cherchant refuge loin de la violence, et rappelé que l'Union européenne, avec le soutien de la France, a mis en place un fonds d'aide de 10 millions d'euros à la disposition du Liban".
M. Hollande a également "salué le discours responsable des dirigeants politiques libanais, issus de toutes les tendances, qui adressent des messages d'apaisement à la population libanaise, et les appels au dialogue, notamment celui lancé par le président Sleimane. Le dialogue est en effet plus que jamais nécessaire", a-t-il déclaré.
Le Président de la République a réaffirmé "le soutien sans faille de la France à la mission de Kofi Annan, envoyé spécial conjoint des Nations Unies et de la Ligue arabe, et à la mise en oeuvre effective de son plan de paix pour la Syrie. Le Conseil de sécurité des Nations Unies doit rester mobilisé et soutenir la mission de M. Annan", a-t-il affirmé.
Il a informé son homologue libanais que "la France préparait activement une réunion à Paris le 6 juillet du groupe des amis du peuple syrien".
Enfin, "il a exprimé sa volonté de donner une nouvelle impulsion aux relations bilatérales entre les deux pays afin de renforcer encore les liens d'amitié entre la France et le Liban", indique également le communiqué.
Le président François Hollande a condamné "la poursuite constante de la répression sanglante" en Syrie, vendredi lors d'une conversation téléphonique avec son homologue libanais Michel Sleimane, selon un communiqué de l'Elysée."Les deux dirigeants ont évoqué l'aggravation de la situation en Syrie et ses conséquences préoccupantes pour le Liban comme pour l'ensemble de la région",...
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