Le député Boutros Harb a souligné lors de son intervention parlementaire que le gouvernement ne tombera pas en raison de la pression des armes du Hezbollah et de facteurs externes, soulignant que cela ne servirait donc à rien de provoquer un vote de défiance. "Mais nous ne garderons pas le silence face aux failles de ce cabinet", a mis en garde M. Harb. Et de poursuivre : "Nous avons le droit de savoir comment les accords sont conclus et il est de notre devoir d'interroger ce gouvernement devant l'opinion publique." Selon lui, si les gouvernements précédents ont commis des violations, cela ne donne pas le droit à l'actuel cabinet de commettre les mêmes actes.
Evoquant la question des armes du Hezbollah, Boutros Harb a estimé qu'elles devraient être placées sous l'autorité de l'Etat, ajoutant que le parti chiite est une composante essentielle de ce pays.
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