Le ministre allemand des Affaires étrangères, Guido Westerwelle, a annoncé mardi qu'il n'avait pas l'intention pour le moment de pourvoir le poste actuellement vacant d'ambassadeur en Syrie, alors que plusieurs pays européens ont rappelé leurs ambassadeurs dans ce pays.
Le chef de la diplomatie a souligné qu'il ne pensait pas "pour le moment" pourvoir le poste, a indiqué un porte-parole. "Comme l'Allemagne n'a pas en ce moment d'ambassadeur à Damas, celui-ci ne peut pas être rappelé", a également indiqué M. Westerwelle.
Les Etats-Unis ont annoncé la fermeture de leur ambassade à Damas pour des raisons de sécurité. Sans aller si loin, plusieurs pays européens, comme la France, le Royaume Uni, l'Espagne ou les Pays-Bas ont décidé de rappeler leur ambassadeur pour consultations.
Ils entendent ainsi dénoncer la poursuite de la répression contre les civils, alors qu'un nouveau train de sanctions européennes est en préparation contre le régime de Bachar al-Assad.
L'ancien ambassadeur d'Allemagne en Syrie, Andreas Reinicke, est depuis le 1er février envoyé spécial de l'Union européenne pour le Proche-Orient. Il avait été nommé à ce poste fin janvier par les ministres des Affaires étrangères de l'Union européenne.
"Nous travaillons dans de nombreux domaines à augmenter la pression sur le régime syrien. Nous préparons une nouvelle série de sanctions contre les responsables de la violence en Syrie, contre le régime de Bachar Al-Assad", a déclaré M. Westerwelle.
M. Al-Assad "n'a pas d'avenir dans son pays. Il doit laisser la voie libre à une transition pacifique", a ajouté le ministre. "Nous sommes aux côtés des personnes qui s'opposent à ce régime violent", a-t-il souligné, en appelant la Russie à faire pression sur Damas.
Le chef de la diplomatie a souligné qu'il ne pensait pas "pour le moment" pourvoir le poste, a indiqué un porte-parole. "Comme l'Allemagne n'a pas en ce moment d'ambassadeur à Damas, celui-ci ne peut pas être rappelé", a également indiqué M. Westerwelle.
Les Etats-Unis ont annoncé la fermeture de leur ambassade à Damas pour des raisons de sécurité. Sans aller si loin, plusieurs pays européens, comme la France, le Royaume Uni, l'Espagne ou les Pays-Bas ont décidé de rappeler leur ambassadeur pour consultations.
Ils entendent ainsi dénoncer la poursuite de la répression contre les civils, alors qu'un nouveau train de sanctions européennes est en préparation contre le régime de Bachar al-Assad.
L'ancien ambassadeur d'Allemagne en Syrie, Andreas Reinicke, est depuis le 1er février envoyé spécial de l'Union européenne pour le Proche-Orient. Il avait été nommé à ce poste fin janvier par les ministres des Affaires étrangères de l'Union européenne.
"Nous travaillons dans de nombreux domaines à augmenter la pression sur le régime syrien. Nous préparons une nouvelle série de sanctions contre les responsables de la violence en Syrie, contre le régime de Bachar Al-Assad", a déclaré M. Westerwelle.
M. Al-Assad "n'a pas d'avenir dans son pays. Il doit laisser la voie libre à une transition pacifique", a ajouté le ministre. "Nous sommes aux côtés des personnes qui s'opposent à ce régime violent", a-t-il souligné, en appelant la Russie à faire pression sur Damas.
Le ministre allemand des Affaires étrangères, Guido Westerwelle, a annoncé mardi qu'il n'avait pas l'intention pour le moment de pourvoir le poste actuellement vacant d'ambassadeur en Syrie, alors que plusieurs pays européens ont rappelé leurs ambassadeurs dans ce pays.Le chef de la diplomatie a souligné qu'il ne pensait pas "pour le moment" pourvoir le poste, a indiqué un porte-parole....
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