"Oui à la démocratie, non à la dictature", "prisonniers, nous ne vous oublierons pas", ont scandé les manifestants venus défiler dans une banlieue de la capitale peuplée majoritairement de chiites.
L'opposition tente de maintenir la pression sur le gouvernement, dominé par la famille sunnite Al Khalifa, pour obtenir de nouvelles réfomres politiques avant le 14 février, date anniversaire du soulèvement populaire de l'an dernier.
S'inspirant des révolutions tunisienne et égyptienne, des milliers de Bahreïnis, notamment des chiites, étaient descendus dans les rues des villes du royaume pour demander une limitation des prérogatives de la famille régnante et la fin de la discrimination dont les chiites disent être l'objet.
"Oui à la démocratie, non à la dictature", "prisonniers, nous ne vous oublierons pas", ont scandé les manifestants venus défiler dans une banlieue de la capitale peuplée...
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