Lors de son allocution, la rectrice de l’université, Hiyam Sakr, a qualifié Ghassan Tuéni de « géant », estimant qu’il est « difficile de résumer par des mots un seigneur du mot ». Elle a insisté sur le respect que lui vouent les hommes politiques, « même ceux qui ont détesté ses mots ». « Nous avons offert au monde arabe une presse libre qui sacralise la plume de Ghassan Tuéni », a-t-elle encore dit.
Liban
Une statue de Ghassan Tuéni à l’AUST
OLJ / le 26 novembre 2011 à 01h07
Lors de son allocution, la rectrice de l’université, Hiyam Sakr, a qualifié Ghassan Tuéni de « géant », estimant qu’il est « difficile de résumer par des mots un seigneur du mot ». Elle a insisté sur le respect que lui vouent les hommes politiques, « même ceux qui ont détesté ses mots ». « Nous avons offert au monde arabe une presse libre qui sacralise la plume de Ghassan Tuéni », a-t-elle encore dit.
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