Interrogé par la NTV sur l’éventualité d’une rentrée du PSP au bercail du 14 Mars, M. Rayès a dit : « Il est encore tôt pour parler de cela. » Et d’ajouter : « Que nous soyons d’accord ou pas avec Saad Hariri, nul ne peut nier qu’il a une représentativité importante. Il est notoirement connu que nous avons des contacts avec lui. »
Toujours dans ce même cadre, M. Rayès s’est néanmoins refusé à éclaircir davantage les propos tenus la veille à Bruxelles par M. Joumblatt à l’intention du journal as-Safir. Le chef du PSP avait dit « préférer s’éloigner de la politique libanaise et de ses sottises ».
« Je n’ai pas l’intention de gâcher la visite que j’effectue ici pour participer à l’hommage rendu à mon ami Paul Rasmussen, l’ancien président de l’Internationale socialiste, qui avait soutenu le tribunal international et s’était rangé à nos côtés lorsque nous étions au sein du 14 Mars... », avait-il ajouté. « J’aurai toujours le temps de rentrer au pays et de me soucier du bazar en cours sur des questions abracadabrantes », avait-il conclu.
D’autre part, sur la question du comportement des ministres joumblattistes en cas de rejet du financement du TSL en Conseil des ministres, mercredi prochain, M. Rayès a indiqué que l’option de la démission « n’a pas encore été tranchée » de manière officielle.
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