Le président français Nicolas Sarkozy a annoncé jeudi que son chef de la diplomatie Alain Juppé se rendrait la semaine prochaine au Proche-Orient, muni d'un message de sa part pour dire aux Israéliens et Palestiniens que "la paix est à portée de main".
Alain Juppé "va partir sous quelques jours, je crois même la semaine prochaine au Proche-Orient, muni d'un message de ma part (...) pour dire aux Palestiniens comme aux Israéliens que la paix a trop attendu, que la paix est à portée de main", a déclaré le président français à la presse en marge du sommet du G8 de Deauville (nord-ouest).
Le ministre va aussi leur dire "que les paramètres de la paix sont parfaitement connus et que le temps ne travaille pas pour les hommes de paix, il travaille pour les terroristes et les extrémistes", a ajouté Nicolas Sarkozy.
"La France considère que l'amorce d'une réconciliation interpalestinienne est une bonne nouvelle", a-t-il aussi dit à propos de l'entente survenue début mai entre le Fatah et le Hamas pour établir un gouvernement d'union et préparer des élections dans les Territoires palestiniens.
Aux Palestiniens, la France demandera si ce gouvernement d'union met en cause la reconnaissance d'Israël et son droit à vivre en sécurité. Aux Israéliens, "nous dirons (qu'il) faut relancer le processus de paix" car "on ne peut pas s'en tenir à la situation d'aujourd'hui", a précisé Nicolas Sarkozy, en évoquant une "très grande harmonie de pensée" avec son homologue américain Barack Obama.
"Il y a contradiction à dire pendant des années que la paix n'était pas possible parce que les Palestiniens étaient divisés et maintenant qu'ils essayent de se rapprocher dire qu'on ne discute pas avec eux parce qu'ils se rapprochent", a-t-il insisté.
Au lendemain de l'accord interpalestinien, Israël avait souligné, en allusion au Hamas, ne pas voir "où sont les chances pour la paix avec un mouvement qui prône le racisme et la violence".
Nicolas Sarkozy a enfin répété que la France espérait organiser une conférence de paix "avant l'été".
Alain Juppé "va partir sous quelques jours, je crois même la semaine prochaine au Proche-Orient, muni d'un message de ma part (...) pour dire aux Palestiniens comme aux Israéliens que la paix a trop attendu, que la paix est à portée de main", a déclaré le président français à la presse en marge du sommet du G8 de Deauville (nord-ouest).
Le ministre va aussi leur dire "que les paramètres de la paix sont parfaitement connus et que le temps ne travaille pas pour les hommes de paix, il travaille pour les terroristes et les extrémistes", a ajouté Nicolas Sarkozy.
"La France considère que l'amorce d'une réconciliation interpalestinienne est une bonne nouvelle", a-t-il aussi dit à propos de l'entente survenue début mai entre le Fatah et le Hamas pour établir un gouvernement d'union et préparer des élections dans les Territoires palestiniens.
Aux Palestiniens, la France demandera si ce gouvernement d'union met en cause la reconnaissance d'Israël et son droit à vivre en sécurité. Aux Israéliens, "nous dirons (qu'il) faut relancer le processus de paix" car "on ne peut pas s'en tenir à la situation d'aujourd'hui", a précisé Nicolas Sarkozy, en évoquant une "très grande harmonie de pensée" avec son homologue américain Barack Obama.
"Il y a contradiction à dire pendant des années que la paix n'était pas possible parce que les Palestiniens étaient divisés et maintenant qu'ils essayent de se rapprocher dire qu'on ne discute pas avec eux parce qu'ils se rapprochent", a-t-il insisté.
Au lendemain de l'accord interpalestinien, Israël avait souligné, en allusion au Hamas, ne pas voir "où sont les chances pour la paix avec un mouvement qui prône le racisme et la violence".
Nicolas Sarkozy a enfin répété que la France espérait organiser une conférence de paix "avant l'été".
Le président français Nicolas Sarkozy a annoncé jeudi que son chef de la diplomatie Alain Juppé se rendrait la semaine prochaine au Proche-Orient, muni d'un message de sa part pour dire aux Israéliens et Palestiniens que "la paix est à portée de main".Alain Juppé "va partir sous quelques jours, je crois même la semaine prochaine au Proche-Orient, muni d'un message de ma part (...) pour...
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