Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a averti dimanche qu'Israël était déterminé à défendre ses frontières, après des incidents meurtriers aux frontières syrienne et libanaise lors de manifestations commémorant la "Nakba" palestinienne, qui ont fait au moins douze morts.
"J'ai donné ordre à l'armée d'agir avec le maximum de retenue mais aussi d'empêcher que nos frontières soient forcées", a affirmé M. Netanyahu dans une déclaration retransmise par les médias.
"Nous espérons que l'accalmie et le calme vont revenir rapidement. Mais nous sommes déterminés à défendre nos frontières et notre souveraineté", a ajouté le Premier ministre.
Dans le plateau syrien du Golan, l'armée israélienne a ouvert le feu sur des manifestants palestiniens venus de Syrie qui avaient pénétré dans la partie occupée.
Deux manifestants ont été tués et quatre grièvement blessés, selon des médecins.
Il s'agit d'un des incidents frontaliers les plus graves entre les deux pays depuis la guerre israélo-arabe de 1973.
Par ailleurs, dix personnes ont été tuées dans le sud du Liban par des tirs israéliens à la frontière, où des milliers de réfugiés palestiniens s'étaient rassemblés dans la localité de Maroun ar-Ras, à un kilomètre d'Israël, selon l'armée libanaise.
Dans sa brève allocution, M. Netanyahu a estimé que ces manifestations "ne portent pas sur les frontières de 1967, mais consistent en une remise en question de l'existence même d'Israël".
Il faisait allusion à la Cisjordanie, la bande de Gaza, Jérusalem-Est et le plateau du Golan conquis par Israël durant la guerre des Six Jours de juin 1967.
Le chef du gouvernement a stigmatisé les adversaires d'Israël qui "commémorent la +Nakba+, la catastrophe qu'a constituée la création d'Israël à leurs yeux", en référence au sens littéral du mot "nakba" en arabe.
La "Nakba" s'est traduite par l'exode de quelque 760.000 Palestiniens, point de départ de la question des réfugiés, actuellement au nombre de 4,8 millions avec leurs descendants, répartis pour l'essentiel entre la Jordanie, la Syrie, le Liban et les territoires palestiniens.
"J'ai donné ordre à l'armée d'agir avec le maximum de retenue mais aussi d'empêcher que nos frontières soient forcées", a affirmé M. Netanyahu dans une déclaration retransmise par les médias.
"Nous espérons que l'accalmie et le calme vont revenir rapidement. Mais nous sommes déterminés à défendre nos frontières et notre souveraineté", a ajouté le Premier ministre.
Dans le plateau syrien du Golan, l'armée israélienne a ouvert le feu sur des manifestants palestiniens venus de Syrie qui avaient pénétré dans la partie occupée.
Deux manifestants ont été tués et quatre grièvement blessés, selon des médecins.
Il s'agit d'un des incidents frontaliers les plus graves entre les deux pays depuis la guerre israélo-arabe de 1973.
Par ailleurs, dix personnes ont été tuées dans le sud du Liban par des tirs israéliens à la frontière, où des milliers de réfugiés palestiniens s'étaient rassemblés dans la localité de Maroun ar-Ras, à un kilomètre d'Israël, selon l'armée libanaise.
Dans sa brève allocution, M. Netanyahu a estimé que ces manifestations "ne portent pas sur les frontières de 1967, mais consistent en une remise en question de l'existence même d'Israël".
Il faisait allusion à la Cisjordanie, la bande de Gaza, Jérusalem-Est et le plateau du Golan conquis par Israël durant la guerre des Six Jours de juin 1967.
Le chef du gouvernement a stigmatisé les adversaires d'Israël qui "commémorent la +Nakba+, la catastrophe qu'a constituée la création d'Israël à leurs yeux", en référence au sens littéral du mot "nakba" en arabe.
La "Nakba" s'est traduite par l'exode de quelque 760.000 Palestiniens, point de départ de la question des réfugiés, actuellement au nombre de 4,8 millions avec leurs descendants, répartis pour l'essentiel entre la Jordanie, la Syrie, le Liban et les territoires palestiniens.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a averti dimanche qu'Israël était déterminé à défendre ses frontières, après des incidents meurtriers aux frontières syrienne et libanaise lors de manifestations commémorant la "Nakba" palestinienne, qui ont fait au moins douze morts."J'ai donné ordre à l'armée d'agir avec le maximum de retenue mais aussi d'empêcher que nos...