Les députés irakiens sont finalement parvenus jeudi à régler un des épineux problèmes politiques en suspens en approuvant la nomination de trois personnalités aux postes de vice-présidents.
Issus de trois importants blocs participant au gouvernement d'union nationale, les trois hommes seront les adjoints du président Jalal Talabani, qui représente une quatrième grande formation de cet exécutif.
"Les membres du Parlement ont unanimement approuvé la nomination de trois vice-présidents", a déclaré un responsable du Parlement sous le couvert de l'anonymat, sans dire combien de députés avaient participé au vote.
Le trio est constitué de deux anciens vice-présidents, Tarek al-Hachémi, issu de la liste Iraqiya, soutenue par les sunnites, et Adel Abdel Mahdi, issu du Conseil suprême islamique en Irak (chiite), ainsi que de l'ancien ministre de l'Education, Khodeir al-Khouzaï, qui appartient au parti Dawa (chiite) du Premier ministre Nouri al-Maliki.
M. Talabani est membre de l'Alliance kurde.
La question du choix des vice-présidents demeurait en suspens depuis la formation en décembre du gouvernement d'union, elle-même intervenue neuf mois après les élections législatives de mars 2010.
Issus de trois importants blocs participant au gouvernement d'union nationale, les trois hommes seront les adjoints du président Jalal Talabani, qui représente une quatrième grande formation de cet exécutif.
"Les membres du Parlement ont unanimement approuvé la nomination de trois vice-présidents", a déclaré un responsable du Parlement sous le couvert de l'anonymat, sans dire combien de députés avaient participé au vote.
Le trio est constitué de deux anciens vice-présidents, Tarek al-Hachémi, issu de la liste Iraqiya, soutenue par les sunnites, et Adel Abdel Mahdi, issu du Conseil suprême islamique en Irak (chiite), ainsi que de l'ancien ministre de l'Education, Khodeir al-Khouzaï, qui appartient au parti Dawa (chiite) du Premier ministre Nouri al-Maliki.
M. Talabani est membre de l'Alliance kurde.
La question du choix des vice-présidents demeurait en suspens depuis la formation en décembre du gouvernement d'union, elle-même intervenue neuf mois après les élections législatives de mars 2010.
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