Tony Blair, envoyé spécial du Quartette pour le Proche-Orient, a estimé dimanche qu'après le départ du président Hosni Moubarak, le Proche-Orient était à "un moment pivot" où il pouvait s'engager sur la voie de la démocratie, mais que les Occidentaux devaient l'aider.
"Nous sommes à un moment pivot où le Proche-Orient tout entier peut s'engager vers la modernisation et la démocratie", "un moment excitant, mais plein d'incertitude", a expliqué l'ancien Premier ministre britannique sur la chaîne BBC1.
"Nous (les Occidentaux) devrions avoir une stratégie d'engagement aux côtés de forces démocratiques et de modernisation dans la région. Nous devrions aider ces pays à aller dans la direction du changement", a souligné M. Blair, soulignant l'"énorme bénéfice" que cela pourrait avoir sur le processus de paix.
Car même si la situation en Egypte a été "extrêmement déstabilisante" pour l'Autorité palestinienne, l'arrivée d'un gouvernement modéré au Caire aiderait "les responsables palestiniens les plus ouverts à la modernisation", a ajouté l'envoyé spécial du Quartette (ONU, Etats-Unis, Union européenne et Russie).
"Cette région vit une transition. La question est vers quoi? Cela peut être vers une démocratie ouverte et moderne, ce que nous espérons, mais cela peut aussi être vers quelque chose de très extrême et très fermé", a-t-il poursuivi.
"Les Occidentaux doivent s'engager autant que faire se peut pour favoriser ce scénario", a-t-il jugé.
L'ancien Premier ministre a aussi défendu l'ex-président Moubarak, soulignant qu'il avait été "une force pour la stabilité de la région et le processus de paix".
"Vous ne pouvez pas le convier à la Maison blanche il y a cinq mois (...) comme partenaire du processus de paix et tout oublier ensuite", a-t-il fait valoir.
"Nous sommes à un moment pivot où le Proche-Orient tout entier peut s'engager vers la modernisation et la démocratie", "un moment excitant, mais plein d'incertitude", a expliqué l'ancien Premier ministre britannique sur la chaîne BBC1.
"Nous (les Occidentaux) devrions avoir une stratégie d'engagement aux côtés de forces démocratiques et de modernisation dans la région. Nous devrions aider ces pays à aller dans la direction du changement", a souligné M. Blair, soulignant l'"énorme bénéfice" que cela pourrait avoir sur le processus de paix.
Car même si la situation en Egypte a été "extrêmement déstabilisante" pour l'Autorité palestinienne, l'arrivée d'un gouvernement modéré au Caire aiderait "les responsables palestiniens les plus ouverts à la modernisation", a ajouté l'envoyé spécial du Quartette (ONU, Etats-Unis, Union européenne et Russie).
"Cette région vit une transition. La question est vers quoi? Cela peut être vers une démocratie ouverte et moderne, ce que nous espérons, mais cela peut aussi être vers quelque chose de très extrême et très fermé", a-t-il poursuivi.
"Les Occidentaux doivent s'engager autant que faire se peut pour favoriser ce scénario", a-t-il jugé.
L'ancien Premier ministre a aussi défendu l'ex-président Moubarak, soulignant qu'il avait été "une force pour la stabilité de la région et le processus de paix".
"Vous ne pouvez pas le convier à la Maison blanche il y a cinq mois (...) comme partenaire du processus de paix et tout oublier ensuite", a-t-il fait valoir.
Tony Blair, envoyé spécial du Quartette pour le Proche-Orient, a estimé dimanche qu'après le départ du président Hosni Moubarak, le Proche-Orient était à "un moment pivot" où il pouvait s'engager sur la voie de la démocratie, mais que les Occidentaux devaient l'aider."Nous sommes à un moment pivot où le Proche-Orient tout entier peut s'engager vers la modernisation et la...
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