Le Parlement malawite envisage de remettre au goût du jour une loi coloniale interdisant de lâcher des vents en public, a indiqué hier le ministre de la Justice et des Affaires constitutionnelles, George Chaponda. « C'est le droit du gouvernement de maintenir la décence publique », a déclaré M. Chaponda à la radio indépendante Capital Radio. « C'est à nous d'imposer l'ordre, a-t-il insisté. Voulez-vous que les gens pètent n'importe où ? » « Ce n'était pas le cas pendant la dictature (de Kamuzu Banda, de l'indépendance en 1964 jusqu'en 1994) parce que les gens avaient peur des conséquences », a ajouté le ministre. « Maintenant, à cause du multipartisme et de la liberté, les gens s'arrogent le droit de se soulager n'importe où. » « Les besoins de la nature peuvent être contrôlés », a-t-il continué. Les Malawites « peuvent très bien aller aux toilettes au lieu de péter en public ».
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OLJ / le 05 février 2011 à 23h06
Le Parlement malawite envisage de remettre au goût du jour une loi coloniale interdisant de lâcher des vents en public, a indiqué hier le ministre de la Justice et des Affaires constitutionnelles, George Chaponda. « C'est le droit du gouvernement de maintenir la décence publique », a déclaré M. Chaponda à la radio indépendante Capital Radio. « C'est à nous d'imposer l'ordre, a-t-il insisté. Voulez-vous que les gens pètent n'importe où ? » « Ce n'était pas le cas pendant la dictature (de Kamuzu Banda, de l'indépendance en 1964 jusqu'en 1994) parce que les gens avaient peur des conséquences », a ajouté le ministre. « Maintenant, à cause du multipartisme et de la liberté, les gens s'arrogent le droit de se soulager n'importe où. » « Les besoins de la nature peuvent être contrôlés », a-t-il continué. Les Malawites « peuvent très bien aller aux toilettes au lieu de péter en public ».
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