"En Algérie, nous continuons de surveiller la situation (...), d'être en contact avec le gouvernement algérien et de veiller à la sécurité de nos compatriotes", a déclaré Philip Crowley.
Washington a critiqué le gouvernement tunisien pour sa gestion des troubles dans la Tunisie voisine, mais se montre pour l'heure plus discret à l'égard de l'Algérie, en proie également à une vague d'agitation sociale depuis le début de la semaine.
Avant M. Crowley, un responsable américain avait attribué la crise en Algérie à "une pénurie aiguë de logements, qui n'a pas été bien gérée par le gouvernement".
"Il est trop tôt pour comprendre exactement ce qui se passe" en Algérie, avait remarqué ce haut responsable parlant sous couvert de l'anonymat: "Nous essayons aussi de déterminer quelles sont les choses les plus efficaces et les plus urgentes à dire et à faire".
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