WikiLeaks s'apprêterait à diffuser dans les prochaines heures 250.000 documents de toutes sortes émanant des ambassades américaines dans le monde entier, une perspective qui donnait la migraine à de nombreux gouvernements alors que Washington a multiplié les contacts avec ses partenaires pour amortir le choc.
Mais M. Netanyahu a indiqué qu'Israël, un proche allié des Etats-Unis, ne serait pas "le centre de l'attention internationale".
Les autorités américaines ont prévenu plus d'une dizaine de pays, dont les alliés stratégiques que sont l'Australie, la Grande-Bretagne, le Canada, Israël et la Turquie.
Le Premier ministre israélien a cependant affirmé que son pays n'avait pas été prévenu par les Américains à propos de documents sensibles spécifiques.
"Dans nos contacts avec les Américains, comme vous le savez nous avons des contacts permanents avec eux, il n'y a pas eu de détails spécifiques nous concernant sur ce qui devait être dévoilé", a dit M. Netanyahu aux journalistes.
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