Le retrait progressif des troupes de l'OTAN d'Afghanistan sera décidé "district par district à partir du printemps prochain", pour assurer le succès du transfert total de la sécurité aux forces afghanes d'ici la fin 2014, a indiqué dimanche le plus haut gradé américain.
L'amiral Michael Mullen, le chef d'état-major interarmées américain, a assuré que les premiers transferts d'autorité commenceront au printemps 2011 "en se basant sur les conditions sur le terrain, une recommandation du général Petraeus (qui commande les troupes internationales en Afghanistan ndlr) district par district", lors de l'émission dominicale "This Week" sur la chaîne ABC.
Les districts sont des subdivisions administratives entre la commune et la région.
En soulignant que la situation sera examinée à ce niveau de détail, les responsables occidentaux veulent éviter de donner l'impression qu'il s'agit de partir à tout prix, alors que la guerre est fort impopulaire dans une bonne partie des pays de l'Otan qui ont envoyé des troupes, notamment en Allemagne.
L'amiral a aussi estimé que la date de transfert total fixée samedi à Lisbonne lors d'un Sommet de l'Alliance atlantique était gravée dans le marbre.
Quand on lui a demandé si cette date de la fin 2014 pour le retrait des troupes de combats de l'Otan était définitive, l'amiral a répondu: "oui elle l'est, tout le monde a signé".
"Nous pensons qu'il s'agit d'un objectif raisonnable. Bien sûr il y aura beaucoup de choses à faire d'ici-là", a-t-il reconnu, lors de l'émission "State of the Union" sur CNN, a laquelle il participait également ce dimanche.
Il n'a pas voulu rentrer dans les détails sur le nombre de troupes qui resteront en Afghanistan après cette date butoir.
Pour lui les choses vont se passer comme avec le retrait des troupes américaines d'Irak, "où ils (les Irakiens) sont très clairement en charge leur propre sécurité". Et comme en Irak, il y aura une transition en Afghanistan "et nous aurons toujours des troupes sur place pour l'entraînement et le soutien", a-t-il dit sur ABC.
L'amiral Michael Mullen, le chef d'état-major interarmées américain, a assuré que les premiers transferts d'autorité commenceront au printemps 2011 "en se basant sur les conditions sur le terrain, une recommandation du général Petraeus (qui commande les troupes internationales en Afghanistan ndlr) district par district", lors de l'émission dominicale "This Week" sur la chaîne ABC.
Les districts sont des subdivisions administratives entre la commune et la région.
En soulignant que la situation sera examinée à ce niveau de détail, les responsables occidentaux veulent éviter de donner l'impression qu'il s'agit de partir à tout prix, alors que la guerre est fort impopulaire dans une bonne partie des pays de l'Otan qui ont envoyé des troupes, notamment en Allemagne.
L'amiral a aussi estimé que la date de transfert total fixée samedi à Lisbonne lors d'un Sommet de l'Alliance atlantique était gravée dans le marbre.
Quand on lui a demandé si cette date de la fin 2014 pour le retrait des troupes de combats de l'Otan était définitive, l'amiral a répondu: "oui elle l'est, tout le monde a signé".
"Nous pensons qu'il s'agit d'un objectif raisonnable. Bien sûr il y aura beaucoup de choses à faire d'ici-là", a-t-il reconnu, lors de l'émission "State of the Union" sur CNN, a laquelle il participait également ce dimanche.
Il n'a pas voulu rentrer dans les détails sur le nombre de troupes qui resteront en Afghanistan après cette date butoir.
Pour lui les choses vont se passer comme avec le retrait des troupes américaines d'Irak, "où ils (les Irakiens) sont très clairement en charge leur propre sécurité". Et comme en Irak, il y aura une transition en Afghanistan "et nous aurons toujours des troupes sur place pour l'entraînement et le soutien", a-t-il dit sur ABC.
Le retrait progressif des troupes de l'OTAN d'Afghanistan sera décidé "district par district à partir du printemps prochain", pour assurer le succès du transfert total de la sécurité aux forces afghanes d'ici la fin 2014, a indiqué dimanche le plus haut gradé américain.L'amiral Michael Mullen, le chef d'état-major...
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