Le Premier ministre Saad Hariri a quitté Londres hier pour Agadir au Maroc où il s'est entretenu avec le prince héritier saoudien Sultan ben Abdel Aziz. Par ailleurs, dans une interview à la BBC avant son départ de la capitale britannique, Saad Hariri avait assuré qu'il « continue » à soutenir le Tribunal spécial pour le Liban. Il en a également profité pour mettre en garde contre une « catastrophe » au Proche-Orient si une paix ne s'instaure pas entre Israël et le monde arabe. « Chaque jour des millions d'Arabes et de musulmans voient à la télévision des maisons palestiniennes détruites par les bulldozers israéliens : cela ne fait pas qu'enflammer la région, cela se répercute sur le monde entier », a-t-il dit, avant d'évoquer l'Iran, qui jouit « d'une grande influence » dans la région. Et de conclure : « Vous (les Occidentaux) en payez le prix à Londres, en Europe et aux États-Unis ; vous en payez le prix partout... Mais que fait la communauté internationale pour booster le processus de paix ? »
Le Premier ministre Saad Hariri a quitté Londres hier pour Agadir au Maroc où il s'est entretenu avec le prince héritier saoudien Sultan ben Abdel Aziz.Par ailleurs, dans une interview à la BBC avant son départ de la capitale britannique, Saad Hariri avait assuré qu'il « continue » à soutenir le Tribunal spécial pour le...
Nominations, réformes, justice, cessez-le-feu... Quel avenir pour le Liban ?
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