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Mode - Ouvertures

Un écrin Damiani rue Allenby

Quand Enrico Damiani fonda sa joaillerie à Valence en 1924, savait-il que son enseigne essaimerait sur les plus belles avenues du monde, avec un couronnement à Beyrouth, véritable petite sœur de cette Italie qui caracole en tête des échanges commerciaux avec le Liban ?
Depuis une poignée de semaines, Damiani s'est offert un écrin sur la rue Allenby, l'une des artères les plus élégantes du centre-ville. Une ouverture éclatante, puisque la première collection exposée est la fameuse « Maji Collection » - « maji » signifie « eau » en swahili - dessinée par Sharon Stone en personne pour financer le traitement des eaux dans les pays désertiques.
Tout ce qui peut se faire avec une pierre d'une pureté aquatique est décliné dans des formes uniques par le grand joaillier italien : bagues, pendentifs, bracelets, boucles d'oreilles en diamant brut, or bruni symbolisant la terre, argent corrodé pour un effet nature. À découvrir, sachant que sur le prix de chaque pièce est prélevé un montant qui contribuera à créer un puits d'eau propre dans un pays qui en a besoin.
Quand Enrico Damiani fonda sa joaillerie à Valence en 1924, savait-il que son enseigne essaimerait sur les plus belles avenues du monde, avec un couronnement à Beyrouth, véritable petite sœur de cette Italie qui caracole en tête des échanges commerciaux avec le Liban ? Depuis une poignée de semaines, Damiani s'est offert un écrin...

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