Au chapitre international, le chef des armées a une nouvelle fois exclu d'envoyer « de nouveaux soldats combattants » en Afghanistan, à trois jours d'une conférence qui réunira l'ensemble des protagonistes du dossier à Londres. Pour autant, M. Sarkozy a envisagé - « pourquoi pas ? » - l'envoi de « davantage de gens pour former (l'armée afghane), encadrer la police, réaliser des travaux de génie civil, aider la population (...) ». Toujours sur l'Afghanistan, il s'est montré inquiet sur le sort des journalistes français pris en otage. « Ils sont en vie, en bonne santé, mais la situation est extrêmement difficile et extrêmement périlleuse », a-t-il affirmé, renvoyant à plus tard la discussion autour des circonstances de leur enlèvement. Une polémique avait éclaté la semaine dernière lorsque le secrétaire général de l'Élysée, Claude Guéant, avait mis en cause ces journalistes en déclarant que le « scoop ne devait pas être recherché à tout prix ». Pour l'heure, a souligné M. Sarkozy, « toute mon énergie et celle de nos soldats » sont « mobilisées pour les sortir de la situation où ils se trouvent ».
Moyen Orient et Monde - France
Sarkozy tente d’apaiser les inquiétudes et les polémiques
OLJ / le 26 janvier 2010 à 23h31
Au chapitre international, le chef des armées a une nouvelle fois exclu d'envoyer « de nouveaux soldats combattants » en Afghanistan, à trois jours d'une conférence qui réunira l'ensemble des protagonistes du dossier à Londres. Pour autant, M. Sarkozy a envisagé - « pourquoi pas ? » - l'envoi de « davantage de gens pour former (l'armée afghane), encadrer la police, réaliser des travaux de génie civil, aider la population (...) ». Toujours sur l'Afghanistan, il s'est montré inquiet sur le sort des journalistes français pris en otage. « Ils sont en vie, en bonne santé, mais la situation est extrêmement difficile et extrêmement périlleuse », a-t-il affirmé, renvoyant à plus tard la discussion autour des circonstances de leur enlèvement. Une polémique avait éclaté la semaine dernière lorsque le secrétaire général de l'Élysée, Claude Guéant, avait mis en cause ces journalistes en déclarant que le « scoop ne devait pas être recherché à tout prix ». Pour l'heure, a souligné M. Sarkozy, « toute mon énergie et celle de nos soldats » sont « mobilisées pour les sortir de la situation où ils se trouvent ».
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