Bien sûr, la venue, annoncée la veille, du président américain Barack Obama pour soutenir le jour J la candidature de Chicago devant les électeurs du Comité international olympique (CIO) rend les choses « difficiles pour nous, mais est aussi un facteur de stimulation », a ajouté Ichiro Kono.
Il a rappelé que la présence du nouveau Premier ministre japonais Yukio Hatoyama viendrait contrebalancer celle de tous les chefs d'État attendus :
M. Obama, mais aussi le roi d'Espagne Juan Carlos et le président brésilien Ignacio Lula da Silva. « Il est bon pour le mouvement olympique que les grands leaders politiques se mobilisent », a-t-il jugé.
Par ailleurs, M. Kono a encore une fois tenté de battre en brèche l'idée selon laquelle la candidature tokyoïte bénéficierait d'un moindre soutien populaire que ses rivales, Chicago, mais surtout Madrid et Rio de Janeiro.
« 27 millions d'habitants de Tokyo (sur 30) sont favorables aux Jeux ainsi que 100 millions de Japonais (sur 127) », a-t-il prétendu, contredisant les chiffres avancés par le rapport de la commission d'évaluation du CIO publié le 2 septembre qui accordait un taux de soutien populaire médiocre à la mégapole nippone (55,5 % à Tokyo et 54,5 dans l'ensemble de l'archipel).
« Nous ne montrons pas toujours nos émotions (comme les Occidentaux), a-t-il renchéri, mais le soutien est là. Nous le montrerons vendredi (jour de la présentation et du vote). »
À trois jours du vote, Chicago et Rio de Janeiro font figure de favoris pour un vote qui s'annonce serré, tandis que Madrid et Tokyo semblent payer les critiques de la commission d'évaluation du CIO.
Tokyo a déjà accueilli
les Jeux olympiques en 1964 et base l'essentiel de son
projet 2016 sur la notion d'héritage : soit la réutilisation de certains sites de l'époque et la construction de nouveaux équipements durables et écologiquement corrects.
Il a rappelé que la présence du nouveau Premier ministre japonais Yukio Hatoyama viendrait contrebalancer celle de tous les chefs d'État attendus :
M. Obama, mais aussi le roi d'Espagne Juan Carlos et le président brésilien Ignacio Lula da Silva. « Il est bon pour le mouvement olympique que les grands leaders politiques se mobilisent », a-t-il jugé.
Par ailleurs, M. Kono a encore une fois tenté de battre en brèche l'idée selon laquelle la candidature tokyoïte bénéficierait d'un moindre soutien populaire que ses rivales, Chicago, mais surtout Madrid et Rio de Janeiro.
« 27 millions d'habitants de Tokyo (sur 30) sont favorables aux Jeux ainsi que 100 millions de Japonais (sur 127) », a-t-il prétendu, contredisant les chiffres avancés par le rapport de la commission d'évaluation du CIO publié le 2 septembre qui accordait un taux de soutien populaire médiocre à la mégapole nippone (55,5 % à Tokyo et 54,5 dans l'ensemble de l'archipel).
« Nous ne montrons pas toujours nos émotions (comme les Occidentaux), a-t-il renchéri, mais le soutien est là. Nous le montrerons vendredi (jour de la présentation et du vote). »
À trois jours du vote, Chicago et Rio de Janeiro font figure de favoris pour un vote qui s'annonce serré, tandis que Madrid et Tokyo semblent payer les critiques de la commission d'évaluation du CIO.
Tokyo a déjà accueilli
les Jeux olympiques en 1964 et base l'essentiel de son
projet 2016 sur la notion d'héritage : soit la réutilisation de certains sites de l'époque et la construction de nouveaux équipements durables et écologiquement corrects.
Bien sûr, la venue, annoncée la veille, du président américain Barack Obama pour soutenir le jour J la candidature de Chicago devant les électeurs du Comité international olympique (CIO) rend les choses « difficiles pour nous, mais est aussi un facteur de stimulation », a ajouté Ichiro Kono.Il a rappelé que la...
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