Rebiya Kadeer, chef de la dissidence ouïghoure en exil, est arrivée hier à Tokyo pour dénoncer « le massacre et les persécutions » de son peuple par le régime chinois, qui l'accuse d'avoir fomenté les émeutes interethniques meurtrières au Xinjiang. Évoquant la condamnation de sa visite par Pékin, qui l'accuse de mener des activités séparatistes antichinoises, la dissidente, qui dirige le Congrès mondial ouïghour basé à Munich, a déclaré « espérer qu'à l'avenir, beaucoup d'autres pays accepteront de me recevoir afin que je puisse faire comprendre la situation des Ouïghours ».
Moyen Orient et Monde
Japon
OLJ / le 29 juillet 2009 à 22h57
Rebiya Kadeer, chef de la dissidence ouïghoure en exil, est arrivée hier à Tokyo pour dénoncer « le massacre et les persécutions » de son peuple par le régime chinois, qui l'accuse d'avoir fomenté les émeutes interethniques meurtrières au Xinjiang. Évoquant la condamnation de sa visite par Pékin, qui l'accuse de mener des activités séparatistes antichinoises, la dissidente, qui dirige le Congrès mondial ouïghour basé à Munich, a déclaré « espérer qu'à l'avenir, beaucoup d'autres pays accepteront de me recevoir afin que je puisse faire comprendre la situation des Ouïghours ».
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