Depuis ses débuts, Louis Vuitton n'a de cesse d'ériger des ponts entre sa maison et le monde de l'art. Le Musée Louis Vuitton à Asnières, des collaborations avec les plus grands artistes, l'espace culturel des Champs-Élysées... Les preuves témoignant de cet amour affluent, saison après saison, au fil des initiatives de Louis Vuitton et de son directeur artistique, Marc Jacobs.
Elles seront d'ailleurs mises en lumière à New York (Rizzoli) et à Paris (La Martinière) en septembre prochain à travers un livre : Louis Vuitton : art, mode et architecture. « Anthologie unique sur les collaborations les plus significatives de Louis Vuitton, cet ouvrage donne un éclairage nouveau sur l'engagement de la maison durant l'une des périodes les plus fertiles de l'art et du design contemporains », spécifie Louis Vuitton.
Mais à la veille de l'été, une autre actualité monopolise les regards. En prémisse à l'ouverture sur 8 900 mètres carrés au Jardin d'acclimatation (Bois de Boulogne) de la Fondation Louis Vuitton pour la création, la maison française donne vie à une exposition du 22 mai au 9 août prochain au Musée d'art de Hong Kong, voulue comme l'attraction phare du dix-septième « French May Arts Festival ».
« Une parfaite illustration » du faramineux projet, souligne Yves Carcelle, président de Louis Vuitton, qui ajoute : « Nous sommes très heureux de pouvoir partager notre passion pour la création avec le public de Hong Kong. »
« Cette présentation très sélective renvoie à une thématique liée au contexte de Hong Kong - à la complexité et à l'énergie de la ville -, pour dériver vers des univers ouverts à l'aventure, jusqu'à la représentation de Hong Kong même. Elle correspond à une conception de l'art comme dialogue et métissage de formes, d'espaces, de visions et, donc, de cultures. Ce choix s'exprimera à travers des œuvres monumentales d'artistes européens, américains et chinois : Jean-Michel Basquiat, Cao Fei, Yang Fudong, Gilbert & George, Dominique Gonzalez-Foerster, Andreas Gursky, Pierre Huyghe, Jeff Koons et bien d'autres.
« À cette première sélection d'œuvres, s'ajoute un choix de vidéos du monde entier dont les thèmes fluctuent entre métaphore sociale et fiction poétique. Cette partie s'ouvre également à d'autres horizons, tels les pays arabes ou l'Europe de l'Est.
« Une troisième section sera-t-elle dédiée aux artistes « invités » de la fondation, choisis parmi la scène artistique locale : Nadim Abbas, Lee Kit, Leung Chi-wo, Pak Sheung-Chuen, Tsang King-wah, Adrian Wong, Doris Wai-Yin Wong », raconte Louis Vuitton.
Elles seront d'ailleurs mises en lumière à New York (Rizzoli) et à Paris (La Martinière) en septembre prochain à travers un livre : Louis Vuitton : art, mode et architecture. « Anthologie unique sur les collaborations les plus significatives de Louis Vuitton, cet ouvrage donne un éclairage nouveau sur l'engagement de la maison durant l'une des périodes les plus fertiles de l'art et du design contemporains », spécifie Louis Vuitton.
Mais à la veille de l'été, une autre actualité monopolise les regards. En prémisse à l'ouverture sur 8 900 mètres carrés au Jardin d'acclimatation (Bois de Boulogne) de la Fondation Louis Vuitton pour la création, la maison française donne vie à une exposition du 22 mai au 9 août prochain au Musée d'art de Hong Kong, voulue comme l'attraction phare du dix-septième « French May Arts Festival ».
« Une parfaite illustration » du faramineux projet, souligne Yves Carcelle, président de Louis Vuitton, qui ajoute : « Nous sommes très heureux de pouvoir partager notre passion pour la création avec le public de Hong Kong. »
« Cette présentation très sélective renvoie à une thématique liée au contexte de Hong Kong - à la complexité et à l'énergie de la ville -, pour dériver vers des univers ouverts à l'aventure, jusqu'à la représentation de Hong Kong même. Elle correspond à une conception de l'art comme dialogue et métissage de formes, d'espaces, de visions et, donc, de cultures. Ce choix s'exprimera à travers des œuvres monumentales d'artistes européens, américains et chinois : Jean-Michel Basquiat, Cao Fei, Yang Fudong, Gilbert & George, Dominique Gonzalez-Foerster, Andreas Gursky, Pierre Huyghe, Jeff Koons et bien d'autres.
« À cette première sélection d'œuvres, s'ajoute un choix de vidéos du monde entier dont les thèmes fluctuent entre métaphore sociale et fiction poétique. Cette partie s'ouvre également à d'autres horizons, tels les pays arabes ou l'Europe de l'Est.
« Une troisième section sera-t-elle dédiée aux artistes « invités » de la fondation, choisis parmi la scène artistique locale : Nadim Abbas, Lee Kit, Leung Chi-wo, Pak Sheung-Chuen, Tsang King-wah, Adrian Wong, Doris Wai-Yin Wong », raconte Louis Vuitton.
Depuis ses débuts, Louis Vuitton n'a de cesse d'ériger des ponts entre sa maison et le monde de l'art. Le Musée Louis Vuitton à Asnières, des collaborations avec les plus grands artistes, l'espace culturel des Champs-Élysées... Les preuves témoignant de cet amour affluent, saison après saison, au fil des initiatives de...
commentaires (0)
Commenter