Et elle raconte, outrée, qu’en sortant à 4 heures du matin d’une boîte en plein air connue, où jeunes et moins jeunes se bousculent tous les soirs, quelle ne fut sa...
Actualités - OPINION
Invasion publicitaire Gracy FARROUHA
Par FARROUHA Gracy, le 30 août 2008 à 00h00
Encore une première, unique et innovatrice, que vous ne verrez qu’au Liban : Une amie me montre, ulcérée, une brochure accrochable avec, en guise de pendoir, une feuille d’érable rouge, symbole du Canada.
Et elle raconte, outrée, qu’en sortant à 4 heures du matin d’une boîte en plein air connue, où jeunes et moins jeunes se bousculent tous les soirs, quelle ne fut sa surprise lorsque elle vit cette pub pendue sur le rétroviseur de toutes les voitures que les valets ramenaient aux clients (évidemment accrochée par ces mêmes valets).
Une société en bonne et due forme vante la vie canadienne, encourage et facilite les formalités d’émigration !
Tandis que nous faisons notre possible pour enrayer cette hémorragie, et l’exode massif de nos jeunes et de nos cerveaux, que nous appelons nos dirigeants et responsables à juguler par tous les moyens (entente, paix, sécurité, opportunités d’emplois, etc.) cette vague d’émigration qui va crescendo, d’autres profitent de la crise et de la détresse pour vendre leurs services à des prix d’or et réaliser ainsi des profits juteux. La décence, la déontologie, la morale ont-elles totalement disparu ? N’y a-t-il pas de loi régissant ce genre de propagande invasive ?
Poursuivre les gens jusqu’à leur voiture et après une soirée agréable passée à essayer de se distraire en leur promettant qu’avec cette société, vous y serez la-bas très vite, etc.
Une régulation de ce genre de pratiques s’impose parce que le harcèlement et l’atteinte à la vie privée sont intolérables.
Article paru le samedi 30 août 2008
Encore une première, unique et innovatrice, que vous ne verrez qu’au Liban : Une amie me montre, ulcérée, une brochure accrochable avec, en guise de pendoir, une feuille d’érable rouge, symbole du Canada.
Et elle raconte, outrée, qu’en sortant à 4 heures du matin d’une boîte en plein air connue, où jeunes et moins jeunes se bousculent tous les soirs, quelle ne fut sa...
Et elle raconte, outrée, qu’en sortant à 4 heures du matin d’une boîte en plein air connue, où jeunes et moins jeunes se bousculent tous les soirs, quelle ne fut sa...
Les plus commentés
Israël est en train de perdre, mais pas autant que les Palestiniens
La Suisse remporte le concours de l'Eurovision marqué par les tensions autour d'Israël
Don de l'UE : après avoir déclaré la guerre à Mikati, les chrétiens proposent la paix ?