L’arsenal nucléaire du Pakistan est en sécurité en dépit des turbulences consécutives à l’assassinat de Benazir Bhutto, a déclaré hier le colonel Gary Keck, porte-parole du Pentagone. De son côté, la Maison-Blanche s’est dit « confiante » sur la question, estimant que l’arsenal nucléaire pakistanais était sécurisé et ne risquait pas de tomber entre les mains des extrémistes pour le moment. En outre, Christian Le Miere, expert du groupe d’informations stratégiques Jane’s, estime que l’instabilité politique consécutive à l’assassinat de Benazir Bhutto ne devrait pas aggraver le risque créé par l’arsenal nucléaire du Pakistan. Selon lui, « les capacités nucléaires d’Islamabad restent fermement contrôlées par les militaires pakistanais ». Il reconnaît toutefois que « ce n’est pas une question d’instabilité politique, c’est une question d’argent. Si un scientifique, ou plutôt un groupe de scientifiques, estime que ses revenus sont trop bas, il pourrait aller sur le marché noir pour offrir des matériaux, c’est le principal danger ».
L’arsenal nucléaire du Pakistan est en sécurité en dépit des turbulences consécutives à l’assassinat de Benazir Bhutto, a déclaré hier le colonel Gary Keck, porte-parole du Pentagone. De son côté, la Maison-Blanche s’est dit « confiante » sur la question, estimant que l’arsenal nucléaire pakistanais était sécurisé et ne risquait pas de tomber entre les mains des...
Les plus commentés
Nasrallah : Pas de lien entre la présidentielle et la guerre à Gaza
Tournée de Le Drian : l’opposition met Nabih Berry à l’épreuve
Un accord sur la frontière terrestre entre Israël et le Liban est possible, estime Hochstein