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Jamil Sayyed répond à Joumblatt
le 28 août 2007 à 00h00
L’ancien directeur général de la Sûreté générale, Jamil Sayyed (qui demeure aux arrêts dans le cadre de l’enquête sur l’assassinat de Rafic Hariri), a publié hier un communiqué par l’intermédiaire de son avocat, Akram Azouri, dans lequel il a commenté les propos tenus par le chef de la Rencontre démocratique, Walid Joumblatt. « Le général Sayyed affirme qu’il existe bel et bien une ligne rouge politique qui est en rapport avec sa personne », précise le communiqué.
Pour M. Sayyed, ce sont les « considérations politiques ayant pour but de préserver le gouvernement libanais » qui empêchent sa libération. « S’il existait une certaine mouvance politique qui désirait libérer M. Sayyed de sa détention politique – et nous souhaitons que Walid Joumblatt en fasse partie – alors, à ce moment-là, cette libération ne sera plus considérée comme une ligne rouge mais une application de la justice », a poursuivi le communiqué qui a aussi mis en relief que la commission d’enquête internationale était favorable à la libération des quatre généraux détenus dans cette affaire, mais que celle-ci était rendue impossible à cause des considérations politiques locales.
L’ancien directeur général de la Sûreté générale, Jamil Sayyed (qui demeure aux arrêts dans le cadre de l’enquête sur l’assassinat de Rafic Hariri), a publié hier un communiqué par l’intermédiaire de son avocat, Akram Azouri, dans lequel il a commenté les propos tenus par le chef de la Rencontre démocratique, Walid Joumblatt. « Le général Sayyed affirme qu’il existe bel...
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