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Actualités

Brèves de la vie politique

• L’ancien député Tammam Salam a appelé « à mettre fin au sit-in de l’opposition » et souligné que « le président de la République n’est pas compétent pour dissoudre ou former les gouvernements ». • Le membre du comité de suivi du 14 Mars, Michel Moawad, a déclaré qu’« il est grand temps d’élire un président en dehors de la philosophie des putschs et des amendements de la Constitution ». • L’ancien député Farès Souhaid a estimé que « la position du président Berry est l’absence de position claire » et que ce dernier « cherche à leurrer l’opinion publique, à la demande des Syriens ». • L’ancien ministre Mohammad Abdel-Hamid Beydoun a affirmé que « le président Berry est devenu un réfugié politique auprès du Hezbollah ». • Le député Antoine Saad a révélé que « l’opposition réanimera le sit-in dès le 15 septembre pour empêcher la tenue de l’élection présidentielle ». • Le mufti sunnite Mohammad Ali Jouzou a accusé le député Michel Aoun d’œuvrer « pour la partition du pays » et de « ne respecter ni Constitution ni loi ». • L’ancien ministre Joseph Hachem a affirmé de Aïn el-Tiné que « tout président qui a été élu sans consensus a été soit assassiné, soit empêché de gouverner ». • À l’occasion du coup d’envoi du « Front de la liberté » qui regroupe des vétérans des FL, l’ancien commandant des FL, Fouad Abou Nader, a souligné la « nécessité de former de nouveaux partis chrétiens », qualifiant les formations chrétiennes historiques d’« obsolètes ». • L’uléma chiite Mohammad Hussein Fadlallah a dénoncé « l’ingérence permanente des États-Unis dans les moindres détails de la vie politique, afin d’exercer des pressions sur les acteurs musulmans et arabes dans les dossiers irakien et palestinien ». La référence chiite a par ailleurs reçu l’ambassadeur égyptien Hussein Darrar, en visite protocolaire d’adieu. • À l’issue d’une rencontre avec l’ambassadeur égyptien, le mufti chiite Abdel-Amir Kabalan a appelé « les responsables à mettre un terme à la polémique médiatique qui menace l’unité du Liban ». • L’ancien député Wi’am Wahhab a affirmé que « l’opposition s’est entendue avec le président Lahoud sur un plan pour faire face à l’élection éventuelle d’un président par la majorité », promettant des « surprises de la part du Hezbollah et de la Syrie en cas d’attaque israélienne ».
• L’ancien député Tammam Salam a appelé « à mettre fin au sit-in de l’opposition » et souligné que « le président de la République n’est pas compétent pour dissoudre ou former les gouvernements ».
• Le membre du comité de suivi du 14 Mars, Michel Moawad, a déclaré qu’« il est grand temps d’élire un président en dehors de la philosophie des putschs et des...