Rechercher
Rechercher

Actualités

Brèves politiques

• Le directeur général des Forces de sécurité intérieure Achraf Rifi a rencontré vendredi dernier l’ex-commandant en chef de l’armée, le général Ibrahim Tannous, qui a salué les efforts des FSI dans cette phase critique que traverse le pays. • Le métropolite de Beyrouth Mgr Élias Audeh a conféré vendredi avec une délégation du Rassemblement de l’option libanaise, présidée par Ahmad el-Assaad, qui a dénoncé « des procédés de terreur exercés sur les citoyens de confession chiite afin de consacrer l’image d’une communauté unipolaire, image que réfutent les faits sur le terrain ». Ahmad el-Assaad a appelé le général Michel Aoun à « tirer les leçons congruentes des résultats du scrutin partiel du Metn qui ont démontré que Aoun n’était qu’un présidentiable parmi d’autres ». Mgr Audeh a également reçu Ghassan Moukheiber, membre du Bloc du changement et de la réforme. À l’issue de la rencontre, le député Moukheiber a estimé que le CPL avait participé aux législatives du Metn « sur base de la défense de l’indépendance, du refus des assassinats politiques et de la lutte contre la marginalisation des chrétiens », appelant à « un dialogue interchrétien et à une entente entre la majorité et l’opposition ». Le métropolite s’est également entretenu avec le responsable des relations diplomatiques Joseph Nehmé des résultats des deux rencontres interlibanaises qui ont eu lieu à La Celle-Saint-Cloud et à Genève. • Le mufti du Mont-Liban Mohammad Ali Jouzou a estimé que « le Liban a besoin du génie corrupteur de Michel Murr », accusant l’ancien ministre de « nourrir le feu de la discorde dans le Metn ». • Le député PSP Akram Chehayeb a estimé que « le durcissement du discours du Hezbollah découlait des élections du Metn qui ont révélé que leur allié ne monopolisait pas la représentation chrétienne, affaiblissant ainsi la couverture que leur avait accordée l’entente avec le CPL ». Il s’est également montré sceptique à l’égard d’une éventuelle initiative du président de la Chambre Nabih Berry, estimant que « le mot d’ordre au sein des forces du 8 Mars demeure entre les mains du Hezbollah ». • Le membre du comité de suivi des forces du 14 Mars, Michel Moawad, a exprimé des doutes quant à la proposition du président Berry de former un gouvernement d’entente nationale avant l’élection présidentielle, estimant que Berry « est contraint à suivre la politique de ses alliés et ne peut fournir de garantie ». • L’ancien ministre Talal Arslane a affirmé que le « candidat unique de l’opposition est le général Aoun », réclamant des législatives anticipées. • L’ancien ministre Wi’am Wahhab a affirmé que « l’opposition n’accepterait pas un président de la République qui soit un agent des États-Unis », refusant un retour éventuel de Fouad Siniora à la présidence du Conseil. M. Wahhab a, par ailleurs, vivement critiqué l’Arabie saoudite et son ambassadeur à Beyrouth. • Ali Khreiss, député du mouvement Amal, a considéré que « les ministres démissionnaires exercent leurs fonctions pour empêcher le gouvernement illégitime de profiter de leur absence ».
• Le directeur général des Forces de sécurité intérieure Achraf Rifi a rencontré vendredi dernier l’ex-commandant en chef de l’armée, le général Ibrahim Tannous, qui a salué les efforts des FSI dans cette phase critique que traverse le pays.
• Le métropolite de Beyrouth Mgr Élias Audeh a conféré vendredi avec une délégation du Rassemblement de l’option libanaise,...